𝑺𝒆𝒑𝒕𝒊𝒆̀𝒎𝒆

20 5 0
                                    

Les jours passèrent et nous n'avons jamais reparlé de cette soirée. Elle ne m'a pas reposé de questions sur son accident.

Les examens se sont bien terminé aujourd'hui. Toute la pression qu'on avait depuis des mois est redescendu. Une fois sorti de la classe nous fîmes un câlin je sentais son cœur battre. C'est la plus belle récompense après le travail qu'on a fourni pendant tout ce temps.

Quand nous nous sommes séparés nous  nous regardâmes droit dans les yeux.

Ce moment je tellement parut tellement long c'était très agréable.

Ses yeux sont si profonds, son visage si doux, ses lèvres si suaves...il faut que j'arrête, il ne faut pas que ça recommence, non.

Je coupa pas notre contact visuel, lui pris la main et l'attira délicatement vers la sortie.

"On fait quoi pour fêter ça?

'Je voulais t'emmener quelque part, suis moi !"

Elle m'emmena dans le centre de la ville puis nous fit passé dans de petites rues sans piéton.

Je crois que je sais où elle m'emmène. Mais ce n'est pas possible, je ne lui ai jamais parlé de cet endroit. Peut-être qu'elle s'est souvenu.

Nous étions bientôt arrivé.

"Ferme les yeux"

Je m'exécuta. Mon cœur battait de plus en plus vite. Je ne savais pas quoi faire.

Elle s'en souvient de quoi ? Jusqu'où ?

Elle me guidait, mais je connaissais ce chemin par cœur.

"Tu peux ouvrir les yeux !"

Cette magnifique vue, ce fleuve, ce pont, cet arbre, cette balançoire, c'était bien cet endroit.

C'est endroit magnifique avec une vue époustouflante sur le coucher du soleil qui reflète sur l'eau. Cette balançoire construite son grand-père avant de décédé.

De quoi se souvient t'elle de cet endroit ?

Je commenca à sangloter elle menlanca et commença à parler.

"Tu sais ce soir ou tu as dit que mon accident était de ta faute, je ne sais pas pourquoi mais je me suis souvenu de cet endroit. Quand on venait dormir chez mon grand-père on vennait toujours ici pour les coucher de soleil.  Je me souviens de quelques moments. Quand tu étais venu en pleurs car ton père et toi vous étiez disputés. Mais je me souviens surtout de ce jour. Nous étions toutes les deux ici, ça doit faire  un peu plus d'un an je crois. Et c'est ici le vrai premier baiser qu'il y a eu entre nous. Même si on doutait, on a dit ce qu'on pensait l'une de l'autre. Je ne m'attendais pas mais tu m'as aussi à vous des sentiments. Je suppose que nous sommes sorties ensemble après. Mais tu m'a tout cacher, ce n'est pas parce que j'ai perdu la mémoire que mon amour pour toi c'est effacé. Je le  savais depuis le début que je t'aimais, mais je me répétait sans cesse que ce n'était pas possible, que je me faisais des idées.

-Tu as beau dire ce que tu veux cette histoire est du passé, c'est fini !"

Je lui tourna le dos et marcha.

J'aurais voulu que ce souviennes de ce baiser. De cet amour inconditionnel qu'on avait l'une pour l'autre. Je vais devoir tout lui expliquer. Jene veux pas, ça va le faire souffrir et puis plus rien ne sera comme avant.

Elle me rattrapa en courant et me pris le poignet.

"Explique-moi tout ! Pourquoi tu prétend ne plus m'aimer ?  Qu'est-ce que tu caches ? Tu as peur ? Moi aussi. Pour te dire vrai, j'ai peur de te perdre et de me retrouver à jamais dans cette immense maison avec une absence de ma mère trop occupé à travailler, s'il te plaît dis-moi quelque chose..."

Je la coupa à l'embrassa tendrement.

Ça fait tellement longtemps que j'attends ce moment. À chaque fois qu'elle me parlait je voulais goûter à ses douces lèvres. Je le peux de nouveau.

Ce fut un tendre baiser rempli d'amour qui se finit par une longue étreinte réconfortante.

𝕃'𝕒𝕚𝕕𝕖𝕣 𝕒̀ 𝕣𝕖𝕔𝕠𝕦𝕧𝕣𝕚𝕣 𝕝𝕒 𝕞𝕖́𝕞𝕠𝕚𝕣𝕖 Où les histoires vivent. Découvrez maintenant