Mariage ForcéTome 1( Jikook)

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Pdv jimin

Jimin, Jungkook était toute ma vie, vous comprenez ? Je l'aime, je l'ai aimé dès le premier jour où mes yeux se sont posés sur lui.

Après le divorce, je suis rentré chez moi en Corée. Jungkook ne m'a même pas lancé un regard. À la vue de ma maison, j'ai soupiré bruyamment. J'ai décidé de ne pas retourner chez mes parents. Je n'ai pas envie de les voir. Je préfère rester dans notre maison à nous, à moi et Jungkook. En plus, son odeur est partout.

J'ai laissé mes valises au salon, puis je suis allé directement dans la chambre. J'ai enfilé une des chemises de Jungkook qui traînait, puis je me suis engouffré sous la couette en pleurant silencieusement.

Deux jours se sont écoulés, enfermé dans cette maison, sans aucun contact extérieur. Je voulais juste rester seul.

Toc ! Toc !

J'ai soupiré puis pris mon oreiller pour me boucher les oreilles, mais la personne a persisté.

— (Pleurant) Qui que vous soyez, allez-vous-en.

— Jimin, c'est papa. Je t'en prie, ouvre-moi.

— Non, je ne veux voir personne.

— S'il te plaît.

— Non, vas-t'en. Va reconnaître ton fils.

— Je suis déjà au courant. Si tu n'ouvres pas, je risque de défoncer la porte.

J'ai levé les yeux à contre cœur et suis allé ouvrir. À ma vue, mon père m'a pris dans ses bras. J'ai éclaté en sanglots. Il m'a soulevé jusqu'au salon.

— (Pleurant) Papa, je l'ai perdu. C'est fini.

— Calme-toi, chut.

— Comment ? Pourquoi ? Le seul homme qui a réussi à voler mon cœur se trouve être mon frère. (Pleurant)

— Si j'avais su, je n'aurais pas laissé tout cela arriver.

— (Pleurant) C'est de la faute de maman. Jamais je ne lui pardonnerai.

— Ta mère regrette vraiment. Et moi, je suis prêt à reconnaître Jungkook comme mon fils.

— C'est bien, dis-je en roulant des yeux.

— Tu sais, chérie, rester isolé n'est pas bon pour toi. Tu sais quoi ? Je vais t'envoyer dans les Caraïbes pour te faire oublier.

— Non, je ne veux pas oublier.

— Mais, mon fils, votre amour n'est plus possible, je suis désolé.

— Papa, tu peux t'en aller maintenant.

— Oui, oui, mon fils. Je reviendrai demain.

Il m'a fait un câlin, puis m'a demandé de réfléchir à sa proposition...

Chapitre banal