Une jeune femme Athée, libre comme l'air, Indépendante et femme de caractère va s'adoucir et trouver la voie du bonheur lorsqu'elle va se rendre compte de la grandeur du seigneur et à quel point l'Islam est un honneur.
Elle va aussi tro...
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Je regarde sur ma montre l'heure qu'il est, 20h30, il est temps que je me sauve de ce bureau, je travaille tout le temps sans arrêt je me repose rarement et franchement ça me fatigue.
Mais bon malgré ça on peut dire que j'ai réussis ma vie je suis une « femme d'affaire ».
Je sors de ce foutu bureau, il fait déjà sombre dehors, on va bientôt entrer en période d'hiver, il n'y avait personne, le parking était vide, le seul bruit qu'on pouvait entendre était le bruit de mes talons « tic-tac-tic-tac ». C'est drôle on aurait dit les bruit d'une grosse horloge, le temps presse.
je sors mes clés de voiture et appuie sur le bouton pour ouvrir ma Mercedes classe Amg , eh oui je vous avais dis que j'ai réussis ma vie.
J'entre dans ma voiture, pose mes affaires côté passager, je démarre et c'est partie, faudrait que je pense à prendre des claquettes avec moi c'est pas super de conduire en talon tous les jours.
J'étais sur la route à conduire, la route était vide et sombre, j'aime bien quand les routes sont vides ça me permet de rouler vite, c'est trop bien de sentir l'air frais entrer par la vitre.
j'ai ce sentiment de liberté quand je conduis assez rapidement, sans dépasser les limites bien sûr il faut toujours rester vigilant on ne sait jamais, et Dieu sait à quel point j'aime me sentir libre. J'utilise l'expression Dieu alors que je suis athée, mdr trouvez l'erreur.
je respire un grand coup, mon téléphone s'allume côté passager, j'ai reçu un message, je le prends et regarde vite fait c'est mon collègue de travail « Djessim » il me fatigue à passer son temps à m'envoyer des messages.
Je lis y'a écrit « on va manger ensemble demain ? », je prends même pas le temps de répondre, demain je lui dirais que j'ai pas vue.
Je repose mon téléphone, à peine le téléphone posé, je lève la tête, les mains sur le volant, les pieds sur les pédales, à fond sur la route, je vois une lumière blanche arriver sur l'autre route, c'est la lumière des phares, d'un coup une personne qui passe en courant sur la route, j'essaye de l'éviter, je dérape sur l'autre route, je l'ai évitée de justesse, j'ai lâchée le volant et perdue le contrôle de la voiture, ma voiture fait des tonneaux et l'autre voiture me fonce dedans, elle m'avait pas vu.
L'accident se passe au ralentit, je sens toutes les étapes de cet accident, ce qui ne fait que de renforcer ma douleur, ma tête est à l'envers puis a l'endroit et ça ne cesse de se répéter.
Mais quand est-ce que ça va s'arrêter ?
J'ai la tête à l'envers et elle me fait atrocement mal, je ne sens plus aucun membre de mon corps, je sens du sang couler de partout, à tel point que j'ai l'impression de me vider de tout mon sang j'comprends plus ce qu'il arrive, ma respiration s'accélère, mon cœur bat de plus en plus vite, j'ai chaud d'un coup mais en même temps je sens la sueur froide se mélanger au sang, des frissons me parcourent le corps. D'un coup tout s'arrête, La voiture ne bouge plus, ma tête tape d'un coup sur les air bags qui s'étaient ouvert depuis le début mais qui n'ont pas empêcher mon mal être, à ce moment là mes yeux se ferment, aussitôt fermés, aussitôt rouvert.
je suis dans le noir complet, les seules bruits que j'entends sont mes battements de cœurs, « Boum. Boum. Boum. » et en même temps « tic-tac tic-tac » ces bruits résonnent de plus en plus fort et de plus en plus rapidement.
Je regarde partout autour, toujours aucune lumière... Tout est noir ! J'ai vraiment peur, je ne me souviens plus de rien de ce qu'il s'était passé avant.
Droit devant moi, d'un coup, éclate une lumière dont je ne saurais décrire la couleur, tout ce que j'ai à dire c'est qu'elle est d'un blanc tellement éclatant, si blanc que je n'ai jamais vue une couleur semblable, ça donnait un sentiment inexplicable, vraiment c'était apaisant, si apaisant que j'entendais les battements du cœurs et l'autre bruit ralentir et devenir de moins en moins fort, cette lumière ne cessait de s'avancer vers moi, ou alors c'était moi qui ne cessait de m'avancer vers elle ? Aucune idée Tout ce que je sais c'est que j'étais dans un sorte de tunnel et j'étais attirée par cette lumière splendide. Je voulais y aller, je me dirigeais vers cette lumière, au fond de moi j'avais le ressenti que ce n'étais pas mon heure et que même si j'avançais je n'y arriverais pas, je savais qu'il ne fallait pas, que j'avais encore des choses à faire, à accomplir dans ce bas monde, que je n'étais pas encore prête à affronter l'au delà mais je voulais tout de même y aller.
je voulais pénétrer cette lumière, c'était vraiment beaucoup trop attrayant, à ce moment là toute lumière s'est évaporée, les battements se sont arrêtés aussi, et me voilà replongé dans ce noir pesant.
À la seconde même j'ai vue une autre image, très différente et pas attirante, c'était moi, sur un brancard dans une salle d'opération.
J'étais défigurée vraiment mon corps était découpée, on voyait mes organes, pleins de médecins plantaient des sortes de couteaux dans mes organes, je voulait, j'essayer de les en empêcher, je voulait crier de toutes mes forces mais rien ne sortait.
c'était si triste, je commençais à voir flou et les derniers mots que j'ai pu entendre étaient les médecins paniqués qui ne cessaient de répéter : « On la perd ! On la perd ! »
