Recueil de one-shot reader x perso

Livaï x Reader (SNK)

Pdv Reader :

Cela faisait un moment que nous n'avions pas eu d'excursion du coup on s'entraînait la plupart de la journée ou on faisait le ménage. Bien sur avec le caporal Livaï qui dirigeait notre escouade. Aujourd'hui nous faisions le ménage en équipe et comme à mon habitude je le faisais avec le caporal. Comme nous n'étions pas les plus grands nous nettoyons le sol et les meubles pendant que les plus grands se chargeait des murs et des endroits les plus hauts. Pendant que nous effectuons nos tâches je me mis à penser que dans la plupart des tâches que l'on fait je fais équipe avec le caporal, comme le ménage, ou bien quand on mange il se met souvent à côté ou en face de moi et parfois son pied vient frôler le mien, et au moment des combats par deux lors des entraînements il se met avec moi. "Je ne sais pas si c'est parce qu'il trouve que je suis moins agaçante que le reste de l'équipe, qui avouons le et surtout des adolescent dont deux qui n'arrête pas de se battre, ou bien parce qu'il m'apprécie vraiment bien." Tout en réfléchissant aux actions de mon caporal vis à vis de moi je ne remarquais pas que tout le monde partit pour aller manger ce n'est que quand je sentis une main dans le bas de mon dos que je réalisa que seul le caporal et moi étions encore dans la pièce désormais vide de tout ados. Je sursauta en sentant sa main sur moi un peu surpris de l'acte.

- Je t'appelle depuis cinq minutes.

- Désolé j'étais dans mes pensées.

Il me fixa un long moment comme pour vérifier la véracité de mes dires puis détourna le regard en partant tout en faisant glisser son bras loin de mon corps. Arrivé à la porte il m'attendis où je m'empressa de le rejoindre on fit notre chemin vers la cantine cote à cote sans prononcer un mot. Le caporal se mit en face de moi puis on mangea tous ensemble pour prendre des forces pour l'entraînement de l'après midi. Mais encore une fois je sentis son pied effleurer ma jambe quand je releva la tête je le vis boire son thé tranquillement et en silence tout en regardant celui-ci.

- Quoi ? Fit-il soudainement nous prenant tous de court.

- Pardon ? Dis-je bêtement.

- Pourquoi me fixes-tu.

A cette phrase tous les regards fondirent vers moi ainsi que le sien. Ne pouvant pas supporté que l'on me fixe ainsi je baissa la tête rouge et bégaya un petit "Rien." Je sentis encore les regards sur moi pendant quelque instant puis retourner à leur occupation. Tous sauf un, le sien, déstabilisée et ne savant quoi faire je continua de fixer mon assiette en mangeant en silence. Le repas finis et la vaisselle faite nous partîmes tous au camps d'entraînement. Pendant le trajet Eren et les autres parlait entre eux mais ni fis pas plus attention que ça. Enfin arrivés à destination nous nous mîmes par groupe de deux m'attendant à être avec le caporal je me dirigea vers lui mais à mon plus grand étonnement ce fut Connie son partenaire. Je me mis donc avec Sasha mon nous entraîner au combat mais au bout d'une demi heure on entendit un énorme hurlement, qui venait de Connie un peu en retrait avec le caporal. On courra tous pour voir ce qu'il avait bien pu se passer et en voyant le bras de Connie former un angle bizarre qu'on avait tous compris que le caporal c'était un peu lâché. M'agenouillant près de lui pour voir son état et pu voir que ce fut au niveau de son poignet qu'était la fracture.

- Tch. Amener le à infirmerie vous deux. Désigna-t-il en montrant Eren et Jean de la main. Quant aux autres repos. 

Puis il partit sur ces mots on accompagna tous Connie à l'infirmerie, sauf Mikasa qui suivait juste Eren, puis nous demandèrent ce qu'il avait bien pu ce passer pour que le caporal puisse à ce point blessé un soldat lors d'un entraînement. C'est à notre plus grande dissatisfaction que le blessé nous disait qu'il n'en savait rien nous plus. Jean pour détendre l'atmosphère jusque là lourde sortit que c'était surement parce qu'il avait sortit un commentaire déplacer encore une fois. On resta près de lui mais l'infirmière en chef nous éjecta tous dehors. Les autres finirent par vaquer à leur occupation tandis que moi je me dirigea vers le bureau de notre caporal. Une fois devant la porte je toqua pour entendre un "entrez" quelque seconde après. En entendant la porte s'ouvrir et se refermer aussi sec le caporal Livaï leva la tête interloqué par cette soudaine violence. Il fut plus surpris, que je pus deviner grâce à son froncement de sourcil, quand il vit que j'était la personne qui avait fait cet acte de violence envers la porte.