Le jour où tout bascule.

Chapitre I : Découverte étrange.

Nous étions sur le chemin en direction de chez moi, autour de nous, des enfants, des adultes et même des personnes agées marcher le long de l'avenue. Des couples étaient assis sur des banc, à s'embrasser. Je n'ai jamais compris ce sentiment. L'amour, mais c'est quoi l'amour ? Puis, ça nous fait quoi a l'interrieur de nous, l'amour ? Je fixais maintenant un couple en particulier. Un couple gays. Je trouvais ça plutôt mignon. Oui, pour une fois que je trouvais quelque chose de mignon. J'avais beau être une fille discrète et "classique" plusieurs choses me dégouter quand même. Enfin voilà, ils avaient l'air vraiment amoureux, leurs regards profond, leurs petites sourires timides sur leurs joues, c'étais vraiment beau à voir. J'admirais cette scène depuis une bonne minute quand Thilbault m'extirpa de mes pensées.

Thilbault : Sophie ? Qu'est-ce que tu regarde comme ça..?

Moi : Ah euh.. Rien, rien..

Il regarda alors en dirrection de mon regard puis souria légèrement. Il me regarda de nouveau puis repris la parole.

Thilbault : C'est beau l'amour n'empèche. Ils ont l'air amoureux ces deux gars.

Moi : Ouais.. Thilbault, t'as déjà rescentit de l'amour pour quelqu'un toi ? Une fille ou un garçon ?

Thilbault : J'en sais rien à vrai dire.. J'crois que je ne suis jamais tomber amoureux. Enfin bref..

Moi : Pareil.. Bon, on y va ?

Thilbault : Ouais, t'habite vers où ? Je vais te racompagner chez toi.

Moi : Ouhh, monsieur est galant !

Il rigola puis me donna légèrement une tape sur l'épaule.

Moi : Sinon, 4 Avenue Du général de Gaule, et toi ?

Thilbault : Pas très loin, aller go !

Il commença donc à marcher, il marchait assez vite, mais j'arrivais quand même à suivre son allure. Nous marchâmes tout les deux dans l'avenue, ne s'adressant que quelques mots de temps en temps, et écoutant de la musique lorsqu'on ne s'adressait pas un mot. Après 10 minutes de marche, nous arrivâmes chez moi, je sortis un trousseau de clé de ma poche de mon pantalon puis chercha la clé pour ouvrir la grande porte blanche de chez moi. Après quelques secondes qui furent assez stressante, de peur de ne pas pouvoir rentrer chez soi, j'introduis donc la clé dans la sérrure, tourna la clé et enclancha la poignée. La porte s'ouvrit puis je me retournais donc vers Thilbault.

Moi : Tu veux rentré ?

Thilbault : Non, je dois rentrer chez moi, je dois aller chercher mon petit frère à l'école maternelle.

Moi : Ah. On se voit demain, au collège alors ?

Thilbault : Oui, ah et Sophie, tiens.

Il me donna un morceau de papier blanc puis partit de devant mon entré tout en souriant. Je referma doucement la porte tout en me rendant dans ma chambre. J'ouvris la porte puis posa mon sac sur mon lit, je me dirigeais vers mon bureau, appercevant mon appareil photo. Je le pris puis vint me tenir devant ma fenêtre. Je l'ouvrit puis regarda le paysage qui se trouver devant moi. Je pris quelque clichés d'une fleur et d'un papillon qui me plus vraiment. Je refermais la fenêtre de ma chambre, puis vint m'assoir sur ma chaise de mon bureau, qui se trouvais juste à côté. Je pris mon carnet de dessin et de croquis doré puis un crayon de papier, et ma palette de crayon de couleur aquarelle. Je commençais alors à dessiner le papillon que je venais de voir, quelques coups de crayon puis des glissement de couleurs par ci par là. Mon dessin fut assez reussit, enfin, à mon goût. Je gommais les quelques traces de gris génant sur les côtés des ailes du papillons puis tout à coup, une étrange lumière apparut sur mon dessin. Je fus aveuglé par cette lumière.

Après 2 ou 3 secondes, je ne sais plus vraiment, mon dessin n'était plus là, enfin, il manquait le papillon, mais le décors, la fleur par exemple était toujours là. Que c'était t'il passé ? Je n'en sais absolument rien. Je refermais brusquement mon carnet doré, étant frustrée par cette scène, quand je vis un papillon, exactement le même que celui que j'avais dessiner sur ma main droite. Je fus bouche-bé, fixant le papillon, puis la fenêtre. J'étais persuadée de l'avoir fermer. Mais sinon, comment ce papillon serait rentré dans ma chambre ? Comment est-ce possible ? Puis c'était quoi cette lumière dans mon carnet ? Et comment ce papillon resemblé à mon dessin comme deux goutes d'eau, et pourquoi celui ci a disparut d'ailleur ? De multiple question se posait dans ma tête, j'étais perdue. ouvrit alors doucement mon carnet doré, puis repris un crayon a papier. Je commençais à dessiner vite fait un chaton, j'avais toujours rêvé d'avoir un chaton siamois, aux yeux bleu-gris, si ce qu'il venat de se passer était réel, mon rêve se réaliserait. Je terminais rapidement mon dessin, puis la lumière vint de nouveau m'éblouir. Je regardais donc de nouveau mon dessin, lui aussi avez disparut.. Je refermais mon carnet puis regarda autour de moi. Je regardais, toujours rien. Non, impossible ! Mais si le chat sur mon carnet à disparu, il devais forcément être là !

Je descendais rapidement de mon lit puis me mis à chercher partout dans ma chambre. Au bout de 5 minutes de recherche infernale, un miolement se fit entendre dans ma chambre. Je regardais sur mon lit, il était là, alongé entre mes coussins. Je me mis alors à me parler à moi même.

Moi : Mon dieu.. C'est pas possible..

Avais-je des allusions ? Devenais-je completement folle ? Je n'en sais absolument rien. Je me dirigeais donc vers mon lit, et tendit doucement ma main vers ce chaton, identique à mon dessin, celui ci se frotta donc à ma main. Je venais de le toucher, ce n'étais donc pas une allusion ! Tout ça était bien réel ! Mais comment est-ce possible ?! Après quelques minutes de questionnement, à caresser ce chaton, ma porte de chambre s'ouvrit. Ma mère rentra dans ma chambre puis me regarda. Ma mère, je crois que c'est la meilleure femme du monde. Toujours là pour moi, toujours là a m'écouté. elle est très ouverte d'esprit. Ma mère, c'est la plus belle femme du monde à mes yeux. Ni trop petite, ni trop grande, toujours joyeuse et propre sur elle. Ma mère, on la respecte toujours, on lui doit un très grand respect, car elle nous a mis au monde, moi et ma grande soeur, Alice.

Ma mère : Sophie ?

Moi : Oui ?

Ma mère : Euh, c'est quoi ce chat à la maison là..?

Qu'allais-je lui dire ? Que j'ai un carnet magique, qui rend la vie a mes dessins ? Mais elle aller m'envoyer dans un hopital psycatrique après ! Cherchant vite fait un mensonge, je butais sur mes mots pour enfin lui sortire une simple phrase..

[Chapitre I de ma fiction ! Alors qu'en pensez-vous ? Que va dire Sophie à sa mère sur l'existance de ce chat ? Lui dira t'elle la vérité ou lui mentira t'elle ?

Sinon ! J'essaye de poster plusieurs chapitre les week-end et les mercredi après midi, mais bon, c'est pas gagner avec les cours finalement. :/ Mais vivement les vacances de noël pour vous faire de la lecture mes chers lecteurs ! N'oubliez pas de voter, de lacher des commentaires ! Je vous aime tellement. *-*

Bisous gelées. ❤]