il dansait, et fumait et souriait, puis buvait et ensuite embrassait une fille, grande, 1m80 peut-être, avec des formes là où « il ne fallait pas » . son truc c'était les filles uniques -tlm est unique ne le prenez pas mal-, pas banals, pas parfaites. néanmoins il pensait que toutes les femmes se valaient. il aimait les grandes, les petites, les blondes, les rousses, les françaises, les sénégalaise, les japonaises, les mexicaines, les australiennes, les toutes fines, les plus rondes, aux cheveux courts, aux cheveux longs. elles étaient toutes belles certes, mais toutes les mêmes. même carmen.mais carmen était tout de même spécial ; il ne l'aimait pas au lycée, quand elle était entourée de ses amis, il l'aimait quand elle était seule et qu'elle laissait son côté enfantin et rêveuse sortir. il aimait la voir rêver et dessiner les formes des nuages dans la forêt. il aimait cette carmen là.
lui, c'était Mathias, Matt pour les intimes. skater, toujours avec sa planche, ses vans usées et un pull bleu ciel bien chaud qu'il portait religieusement tous les dimanches, lazy day, même le jour du festival.