Chapitre 1: Cole est mort

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Je suis terrifié que Brahms soit fou de moi .

Fou que j'ai enfreint les règles, je savais que je laissais quelqu'un dans cette maison pour mort, Cole, dans cette endroit. Rien de tout cela serais arrivé si je n'avais pas accepter de garder cette poupée. Je devais m'échappai juste par peur, qu'il me fasse la même chose. Alors je commençais a courir aussi vite que jamais, à travers les couloirs sombres. Brahms saute hors de l'ombre juste devant moi, apparemment sorti de nulle part en me faisant sursauter. Je vois un escaliers sur mon champ de vision et je me précipite vers ces derniers en panique en entendant les pas de Brahms derrière moi. Je monte les escaliers a toute vitesse en tombant sur le sol froid et je vois à proximité une porte où je me jette à travers la porte en la fermant derrière moi tout doucement. C'est la chambre de Brahms quand il était enfant, enfin maintenant c'est surtout celle de la poupée depuis des années. Bref, je cherche autour de moi quelque chose qui permettrai de briser une des fenêtres et en cherchant pendant que quelques minutes dans la pièce, j'aperçois un trou dans un des murs... Ça doit être l'un des passages secrets. Je n'es pas le temps d'hésiter que je me précipite dedans et je commence à escalader cette endroits sombre et étroit.

"S'il vous plaît, soit qu'il y a une sortie. S'il vous plaît, laissez-moi sortir d'ici vivante." Continue-je à me le répéter en boucle dans ma tête.

J'atteins le haut d'un escalier que j'ai trouver, il y a quelques minutes et je tourne dans l'obscurité à la recherche d'en endroit où aller. Je vois une lumière briller et derrière une porte cachée ma seule chance. Je l'ouvre et entre dans une grande pièce emménagé. C'est... c'est sa cachette. Ça ressemble presque à un petit appartement. C'est très poussiéreux et étouffant ici. Il y a un réfrigérateur, un micro -ondes, un lavabo et un miroir, des toilettes et un escalier pour aller au deuxième étages. Il y a des boites en conserve sur les étagères ainsi que des bouteilles et des boites de repas que les Heelshires m'avez demandé de congeler. Il y a des guirlandes lumineuses, des montres suspendues à des ficelles au plafond, des petits animaux en plastique, un violon, quelques plantes et des poutres recouvertes de partitions, des tonnes de livres de Taxidermie. À l'autre bout de la pièce, je remarque un lit avec quelque chose dessus qui à première vu, ça ressemble à un humain! J'inspire et je réalise que ce n'est pas une personne... mais une poupée grandeur nature... et là ça me frappe. C'est ma robe! La poupée porte ma robe qui a disparue, il y a quelque jours, plus tôt. À côté se trouve un petit paquet de mouchoirs et un chiffonné qui semble étais utilisé.

«Mon dieu... C'est vraiment dégouttant. Je suis foutu!" Pense-je en me retournant et je vois un papier posé sur un meuble à côté du lit. Je ramasse le papier en réalisant qu'il s'agit d'une lettre qui est écrit:

Notre cher fils:

Les mots ne peuvent pas décrire notre chagrin, nous devons te quitter, maintenant.

Nous ne reviendrons pas. Nous pouvons tous simplement pas vivre avec ce que nous t'avons permis de devenir.

La fille est à toi maintenant. C'est à toi de l'aimer et prendre soin d'elle.

Que dieu nous pardonne.

Maman & Papa.

"Quoi" M'écris-je en aillant des frissons froids coulent le long de mon dos.

Je recule en renversant presque une pile de livres sur un tabouret. Ils sont vraiment partis? Pour de vrai?

«La fille est a toi maintenant. C'est toi de l'aimer et de prendre soin d'elle.》

Tout cela a du sens maintenant.

Mme heelshire, elle était désolée a mon oreille quand ils sont partis.

M .Heelshire agissait si nerveusement, il éprouvait à moitié de la culpabilité.

Avant qu'ils partent le soir-même ils avaient tous les deux parler de moi à «Brahms», derrière la porte de sa chambre où ils m'avaient fermée la porte au nez.

"Merde, Merde...! Ça peut pas être ça?" Me demands-je en me dépêchant de sortir d'ici et je vois un autre trou dans le mur menant à une échelle. Il semble que ce soit le seule moyen de sortir alors, je pris une profonde respiration et commence à grimper aussi vite que je peux. Je me retrouve à nouveau dans l'un des ces tunnels et j'entends des grincement un peu partout. Je m'arrête un instant et écoute autour de moi en retenant mon souffle. Je ne pourrais même pas dire d'où ça vient et je recommence à paniquer encore plus qu'avant. Je peux ressentir les mur se refermer sur moi, le bruit de mes battement cœurs résonne jusqu'à mes oreilles. Je me faufile tranquillement dans un coin et essaye de marcher aussi doucement que possible à la recherche de toute source de lumière ou de portes et ma gauche, je vois une trappe d'aération, obstrué par des tuyaux de drainages et au même moment, j'entends très près de moi, un craquement bruyant.

"(T/N)!" Crie une voix enfantine innocente juste au coin du couloir.

Brahms x readerOù les histoires vivent. Découvrez maintenant