Brahms x reader

Chapitre 6 - Thé avec brahms

"J'ai commencé à lire un des livres que tu m'as donné." Dis-je.
Brahms lève les yeux de la tasse et je voie la surprise dans ses yeux. Il semble qu'il veuille dire quelque chose, mais ce n'est pas le cas. Peut-être qu'il est mal à l'aise de parler sans la poupée, depuis qu'il m' a tellement fait peur? Vous le voie avaler. "Lequel ?" il gémit doucement sous le masque. Je me sens soulagé de l'entendre parler et je en peux pas m' empêcher de sourire. "Jane Eyre. Je suis au milieux . Je suis contente que tu l'aies choisi pour moi." lui dis -je . Il hoche la tête et regarde dans sa tasse. "Je pensais que ça te plairait". Dit-il, sa voix craquant alors qu'elle s'approfondit un peu. "Je ne pouvais pas m' arrêter de lire. Je me suis même endormi au milieu". Lui dis-je . J'entends un petit reniflement étouffé derrière le masque comme si Brahms souriait. Je remarque ses cils pendant qu'il regarde vers le bas.
"Tu as beaucoup de livres ici." Je continue . Je n'es pas oublié ni la poupée effrayante sur le lit, ni la facilité avec laquelle il a tué Cole, mais je n'es pas l'intention d'en parler. Pas encore, du moins. Il acquiesce de nouveau et tripote la tasse. Il dit et hésite un instant. "As-tu toujours peur de moi?", Dit-il alors doucement. Au début, je ne sais pas quoi dire. En fait, je devrai avoir peur. Mais pour une raison quelconque, je ne le suis pas. Confuse et nerveuse peut-être, oui, mais pas effrayé. Je suis méfiante mais intrigué. Il y a quelque chose en lui qui me donne envie de le connaître. Même si je ne devrais pas. Il est venu à mon aide lorsque je le lui ai demandé. Il m' a protégé de Cole. Je ne veux pas vraiment me l'admettre jusqu'à présent, mais je me sent soulagé que Cole soit réellement mort. Parti pour toujours . Et la chose que Brahms a faite alors que je pensais toujours qu'il était une poupée, comme cacher mes chaussures, était bizarre, mais inoffensive. "Non. Je ne pense pas." Je lui dis: "Tu comprends pourquoi je l'étais?" Il acquiesce légèrement. "Je pensais ... que tu me quitterais", dit-il avec sa voix enfantine. Je me rends compte qu'il utilise sa voix enfantine quand il est nerveux. Il me regarde, presque avec une peur dans les yeux. "Je ne partirai pas". Lui dis-je en l'assurant . "Nous ... devons nous prendre soin les uns de l'autre." Je pense à la lettre de Mr. et Mme Heelshire. Qu'ils ne reviendront jamais. Brahms baisse la tête et acquiesce. "Tu me laisserai entrer dans la maison?", Demande-t-il.
Au début, je ne comprends pas, car on tous les deux déjà dans la maison. Mais je rends compte qu'il veut probablement dire dans la vraie maison, pas caché dans la maison, pas caché dans les passages et cette pièce. Je demande si les parents ont fait leur propre choix. Peut-être un petit peu des deux . Comme l'a dit M. Heelshire, petit à petit et puis d'un coup. "Bien sûr. C'est ta maison." Je lui dis et fais une pause avant de prendre le courage de demander. "Brahms, est-ce que ... tes parents ne voulaient pas de toi dans la maison?" Il déglutit. "J'étais un mauvais garçon." Dit-il en tremblant. "Je devais me ranger." Vous pensez immédiatement à Emily Cribbs. La petite fille qui a disparu et a été retrouvée morte par la police. Vraisemblablement tué Brahms. Je sens déchiré entre vouloir vraiment savoir et absolument ne pas vouloir connaître la vérité. J' ai le sentiment que je le découvrirai un jour ou l'autre, si j'ai de la patience.
"Mais tu vas bien maintenant. N'est-ce pas?" Demands-je avec hésitation et il hoche la tête pour me convaincre. Comme un enfant. Je sourie et prends une gorgée de thé à la menthe qui s'est un peu refroidi. Brahms soulève sa tasse mais hésite et la pose à nouveau, ne sachant pas quoi faire. "Oh je vais fermer les yeux si tu veux ...? Dis-tu rapidement pour l'aider dans cet inconfort.
"Non, je vais me retourner." Il s'excuse. Il se retourne sur le tabouret, le dos contre vous, et saisit le bas de son masque. "Tu ne regarderas pas, n'est-ce pas?" demande-t-il avec inquiétude.