Vendue Par Mes Parents, Achetée Par Un Thug [CORRECTION]

Chapitre 21

Aymen me prend le téléphone et appel quelqu'un mais on dirait que le personne ne répond pas..

Aymen : J'men bat les couilles j'vais le trouver ce gars ! Dès qu'il appelle tu met en haut parleur.

Moi : D'accord...

Rayan : Mais ça faisait quoi dans l'appel ?

Moi : Il y avait quelqu'un qui riait et derrière j'entendais quelqu'un crier..

Aymen : Putain..

Cet appel à installé un grand froid dans la salle. Seul le son de la télévision se faisait entendre avant que l'on aille tous dormir.

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Aymen : Arrete wesh tu veux j'te met du piment sur tes doigts ?

Les autres se mettent à dire bêtement. Je suis juste hyper stressée alors je me ronge les ongles et Aymen n'aime pas ça apparemment.

Moi : Mais je stresse !

Aymen : Wesh t'es sah ? On déjeune la tu pense déjà a après ?

Moi : C'est pas ma faute hein...

Aymen : Bon, ta gueule tu manges.

Moi : ...

Quand on termine de prendre notre petit déjeuné, on se prépare.

Aymen : GO TO THE JSP PAS QUOI !

On se dirige vers la voiture, le chemin  s'annonce vraiment long. Le stresse ne cesse d'augmenter pour moi, j'ai l'impression que tout s'arrête toutes les minutes.

Oh mon dieu mon coeur il s'est mis a battre violemment lorsque nous nous sommes rapprochés de la maison. Elle a toujours pas changé, elle est toujours pareille, c'est la maison ou l'on vivait avant que Karim nous quitte. Cette maison me rappelle tellement de souvenir qui resurgissent peu à peu...

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Mère : Aller on déménage, fini cette maison de merde !

Père : Eh oui, maintenant que Karim est décédé, on peut partir tranquillement et te tabasser à mort Médina Khra !

Les larmes ne cessent de couler le long de mes joues. Le deuil de Karim est insurmontable, mais de plus, l'horreur de vivre avec ces parents là est encore plus horrible...

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Je descend Aymen me prend la main je la serre autant que j'peux mddrr

Aymen : Wesh tu va niquer ma main !

Moi : Sonne !

Il sonne. Quelques minutes après, un vieille homme "mon père" que je reconnais directement, juste de le voir, ça me degoute au pljs profond de mon âme. Son visage, son expression faciale, son physique n'as juste pas changé mise à part beaucoup plus de cheveux blanc et quelques rides qui le rendent encore plus moche qu'il ne l'est déjà à cause de son comportement.

Mon Père : Oui ?

Aymen : Tu vas nous laisser devant la porte aussi ?

Il nous regarde tous d'une façon différente. J'ai juste senti du dégoût a mon égard et de l'incompréhension lorsque son regard s'est tourné vers les autres. Il nous fait entrer dans la maison .

Je regarde de partout, sol comme plafond, recoins et recoins. Chaque meubles. Rien n'as jamais bougé, rien n'as jamais changé. On a déménagé de cette maison pour que rien ne change ici. Elle était juste abandonnée cette maison là...