[...] Une semaine est passée depuis mon, très rapide, entretient d'embauche. Nous somme le Lundi 23 mars 2020, il est 17 heures. Plus que 7 heures avant le premier jour, ou plutôt, première nuit. Voilà une semaine, sept jours, 168 heures, 10 080 minutes et 604 800 secondes que je n'ai pas dormi. J'essaye, mais sans résultat. J'ai des cernes immenses! Je les est mesurées tout à l'heure; 5 centimètres de cernes sous chaque œil, ça fait un peu beaucoup.
Quand je pense que pendant la semaine qui va suivre, je ne dormirais pas non plus. Bah non, mon travail commence de minuit à six heures du matin, alors tu pense bien que je vais être fatigué pendant le reste de la semaine. Heureusement qu je ne travaille que du Lundi au Vendredi sinon je ne vous dit pas le calvaire qu je devrais enduré.
J'ai représailles contactées avec la femme de l'autre jour, sur un savoir à faire connaissance. Elle s'appelle Catherine. Sympa comme nom. Bref, sortons de la phase voiture émotive sinon je risque d'y rester pour un petit bout de temps. Bref. Je vais attendre la gestion du début de mon service en regardant la télé et ma voiture portable je n'est rien d'autre à faire que ça.
23 heures, plus qu'une heures et je travaille enfin! Un an, une année complète à chercher du boulot. J'espère au moins que ce n'est pas risquer ce que je vais faire. Normalement non employeur, Dave, m'a dit que mon boulot consiste à surveiller les animatroniques. Et les animatroniques sont faits pour divertir les enfants, donc pourquoi ce serait dangereux?
[...] Plus que trente minutes avant mon service. Je suis en stresse total. J'arrive près du restaurant, je ralentis à environ cinquante mètres de la pizzeria. J'arrive. Coupe le moteur. Attend cinq petites minutes dans ma voitures. Je regarde l'heures: vingt trois heures quarante neuf. Plus que onze minutes. Le stress vient, minutes après minutes, secondes après secondes, millièmes de secondes par millièmes de secondes. Bref, dans ma tête et dans mon ventre, c'est le bordel.
Je sens des papillons dans mon ventre, c'est très désagréable. Cette sensation, on l'a quand on a vraiment le trac ou que l'on est stressé. Vous me direz, stressée et avoir le traque c'est la même chose.
Il est vingt-trois heures cinquante-cinq. Je décide de sortir de ma voiture pour me diriger vers le restaurant. J'ouvre la porte et vois Dave. Il me dit:
- Au moins, tu es a l'heure. Pas comme le gardien de nuit de la semaine dernière. Je vais te dire une chose: je t'appellerais à minuit pour te dire ce que tu as à faire. Ton bureau est là-bas, dit-il en me montrant deux couloirs, je te laisse mon gaillard, aller, bonne nuit!
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Cinq nuits aux cauchemars
Horrorcette histoire m'est inspiré d'un jeu très connu mais en même temps peu connu: Five night at Freddy's, tapez "FNAF" dans la barre de recherche GOOGLE et vous trouverez très facilement.