L'île infernale

Sombre étincelant

Le réveil sonne. Il est dix heures. Aujourd'hui, John a un rendez-vous. C'est un jeune homme de 25 ans, de taille et de corpulence moyenne. Bien qu'il n est pas L Air sportif, il passe la plus grande parti de son temps à travailler son cardio. Ça lui vide l'esprit, comme il dit. Le jeune homme tente de se faire une place dans la société, qu'il pense élitiste. Ça vie passée est noire comme le charbon : mort de son père, maladie de sa mère. Sa pauvre mère, comme il le dis lui même. Elle est tout pour lui. Son seule rayon de soleil dans la vie. Mais voilà, se rayon de soleil s'obscurci au fil des jours : la maladie la ronge.
Un jour, elle s est effondrée devant le jeune homme. Après consultation au médecin, et divers examens imprononcables, on lui trouva une tumeur cancéreuse et des métastases au foie. Son temps ce comptais en mois.
Du moins, ça, c'était il y a deux mois. Aujourd'hui, son temps lui est toujours compté. Mais c'est en semaines désormais.
"Il ne lui en reste peut être Qu une seule à vivre..."
John se lève. Il chasse de son esprit ses idées noires. Il se vetit de son vieux pyjama. Celui ci est rouge délavé, et à plus de 10 ans. Trop petit aux extrémités, John le met car cela lui rappel le bon vieux temps, avant que tout dégringole.
Comme tous les matins, il va chercher le journal.
Comme tous les matins, il prend son café.
Comme tous les matins, il scrute les annonce d'emploi.
Et comme tous les matins, il en choisi une Et postule.
Comme à son habitude, il espère vraiment avoir ce job. Depuis quelque temps, il rencontre des problèmes financiers important. Pire encore depuis que ça mère fut interné à l'hôpital.
Ce matin, une annonce attira son attention.
"Recherche employé pour tester le terrain. Débutant accepter. Aucun diplôme recquis"
C'est a cette annonce qu'il postula. Il envoya CV et lettre de motivation. A chaque fois, il notait toutes les données méticuleusement dans un tableau. Ainsi, il savait où il en était.
Une fois son mail envoyé, il alla vêtir sa tenue de sport et commence ça séance de vélo d'appartement. Son téléphone sonna au bout de dix minutes.
Soucieux d'avoirdes nouvelles de sa mère, à qui il rendait visite tous les après midi, il se dirigea vers son téléphone et répondit.

"Allo ?
- Bonjour. Vous êtes John Cadrius ? Demanda son interlocuteur
- C'est moi même, monsieur"

Ce n'était pas le numéro de l'appel. John tenta de calmer les pulsations de son coeur afin d'avoir la voix la plus claire possible.

"Je vous appel pour faire suite à notre annonce. Vous savez, celle par rapport aux tests de terrains ?
- Ah oui je vois ! Vous êtes réactifs ! S'enthousiasma John
- il le faut. Vous êtes toujours interresse ?
- Carrément !
- Alors rendez vous au Siko, c'est pas loin de chez vous ça non ?"

Le jeune homme tressailli. Le Siko était un bar restaurant. Depuis quand cela ce fait de faire un entretient d'embauche dans un établissement de ce genre ? Mais il poursuivi tout de même :
"C'est bon pour moi.
- très bien. Je vous y attends. A dans 5 minutes."

L'interlocuteur raccrocha. John en était bouche bée. Malgré tout, il se dépêcha de changer de vêtements et de mettre des choses plus conformes. Il avait bel allure, en jean, chemise blanche et veston ! Cette tenue ne servait que pour les occasions. Si bizarres soit elles...

John sorti de chez lui en prenant avec lui son téléphone et ses clefs. En chemin, il ne pouvait s'empêcher de cogiter quand à cet étrange rendez vous. Peut être que c'est un employeur extravagant ? Après tout, John sait de part son vécu que tous les caractères existent dans ce monde, et bien plus encore de se que nous somme capable d'imaginer.
Arriver devant le troquet, il franchit le seuil.
Étrangement, il ny avait Qu une table de prise, avec un homme en noire dessus. L'homme en noir buvait un café. Il leva les yeux vers John. Son regard était très profond. Cet homme, dans la quarantaine, semblait avoir du vécu derrière lui. Il semblait si paisible, si confiant, que cela déstabilise John d'emblée.
"Vous êtes John je suppose ?" Demanda t'il d'une voix si posée qu'elle en fit perdre les mots au garçon. Il balbutia une réponse.
L'homme en noir se présenta. Il dit qu'il représentait UBUL. Il expliqua que la société était entrain de développé des traitements expérimentaux pour toutes les maladies dites incurables. Pour cela, il fallait des plants. C'est plants, on ne les trou aient en quantité suffisante que dans un seul endroit : l'île Toupiak. Son job consisterait à y rester 24 heures, afin de savoir si la vie y était possible. Ou non.
"Voilà le deal, jeune Cadrius, si tu y survi 24heures, tu seras fortement récompensé"

John hésita. La survit en forêt : c'est un rêve de gosse qu'ila toujours eu. Plus jeune, il voulait être militaire. Mais la vie en à décider autrement. Cette opportunité était magique. Et puis, pensa t'il tout haut : peut être ont ils ce qu'il faut pour ma mère...

Un sourir se dessine sur les lèvres de l'homme en noir.
"Votre mère... Elle a un cancer metastasé, c'est cela ?
- Euh oui... Répondit John, pris de cours
- Vous rester 24 heures sur l'île, et nous vous fournirons un traitement. Il n'est, au yeux du marché, pas assez fiable. Mais les tests se sont tous avérés positif... Je pense plutôt que les lobbys pharmaceutique n'en veulent pas, car son coût est trop élevé. Mais qu'importe, nous pouvons vous le fournir à titre gracieux ! Ajouté à cela la maudique somme de 10 000 euros.. "

Le jeune homme transparaît à grosse goute. Il était heureux. La lumière semblait revenir peu à peu dans sa vie. Il plongea son regard dans celui de l'homme en noir et dit d'unevoix calme, posée mais surtout déterminée :
"24 heures vous dites ? Et je signe où ?