Paradisia

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Le zodiak s'échoua sur la plage. A son bord, l'homme en noir, celui qui travaillait pour Usul. C'est cheveux bruns étaient figés par rapport à ceux de John. Ceci étaient mi longs. Ils lui arrivaient jusqu'au coup. Pour l'occasion, le futur naufragé c'était completement rasé. Adieu son duvet et sa barbe de trois jours. On aurait dit un jeune homme qui sortait de l'ENA.

L'homme en noir avait une malette dans ses mains. Depuis qu'ils avaient embarqués, John c'était toujours demander ce qu'elle conteanait. Un peu comme la grande mal située à l'avant. Etait-ce la du matériel de survie ? Cela réconfortait notre homme.

En effet, ses derniers jours, ils n'avaient cessé de se pauser mil et une question. C'est quoi Usul ? Aucune trace de cette société sur le web. Qui est cet homme en noir ? Il avait déclaré se prénommé Ichi. C'est la seule information que john pu en tirer. Pourtant il s'en était posé des questions.

L'ile était en vue. Après plusieurs heures à naviguer sur des eaux peu troubles, plusieurs ilôts sont apparut. Puis, Inferno, comme il l'appelle, est sortie du paysage. Aux allures paradisiaques, la faune et la flore semlblaient vraiment abondante. "Inferno, c'est pas un nom pour toi ma belle. Je dirais plutôt Paradisia !" Ne pût s'empécher de penser le futur naufragé.

Inferno devenait de plus en plus grande et de plus en plus nette à mesure que le zodiak avancait. John voyait au loin les oiseaux marins sur la berges. Il arrivait à distinguer les mouettes des goëlans. Et les goëlans des cormorans. il y avait même des huitriers pie dans le lot. Le jeune homme avait les yeux grand ouvert face à ce majestueux spectacle de mêre nature.

Le zodiak entamma un virage. Il se mis parrallèle à l'ile. Du bateau, John observait les arbres. L'ile était incroyablement verdoyante. Avec le ciel bleu, dénudé de tout nuage, le panorama était grandiose. Ce magnifique tableau naturelle desamorçait peu à peu les aprioris de John sur Usul. 10 000 euros pour rester ici seulement 24 heures, c'est quand vous voulez ! Pensait-il en admirant les différentes espèces d'oiseau s'envoler, à l'arriver du zodiak. 

Finalement, le bateau se diragea dans un port naturelle. La seule trace de présence humaine était cette bitte d'amarage située en plein coeur de la plage. Ichi dirigea le bateau vers celle-ci et s'échoua à quelques centimètre d'elle. Il pris sa malette et la déposa sur la grosse caisse. Puis il sorti John de son air ébahi.

"Faut bouger de là" Déclara t'il d'un ton neutre. John avait saisi qu'il ne valait pas discuter avec. Malgré le fait qu'il porte des lunettes de soleil, le jeune homme savait très bien que derrières se cachait un regards perçant très autoritaire. Il l'avait vu plusieurs fois, notemment au troquet du coin.

Ce regard, Ichi l'avait abordé pour la première fois lorsque John avait évoqué la question du contrat. l'homme en noir c'était d'abord raidi. Il bu un grand coup. Une fois sa mousse vidée de moitié, il s'essuya les lèvres et regarda John droit dans les yeux. Le jeune homme se senti tressaillir face au regard percant de ce quarantenaire.

"Bien sur qu'il y en aura un. Tu signeras tout ce qu'il y a à signer une fois sur place.

- Ok... Donc je serais payé après où pendant ?

- Tout seras vu en temps et en heure. Ne t'en fais pas." répondit -il d'un ton calme, avec un sourir charmeur. 

Ils soulevèrent la caisse et la déposèrent sur le sable, suivant les consignes de Ichi. Puis il fit signe à John de le suivre. Il marchèrent sur le sable. Dans son costard, Ichi marchait par moment maladroitement. C'est bien là la seule faiblesse que le futur naufragé lui accordait. Il ne lui en avait aucune autre.

Dans son pantalon de sport à la militaire, comme il le décrivait lui même, en référence à ses poches multiples et sa couleure kaki. Il arborait une tenue de sport simple, T shirt et gilet. Enfin, il avait un sac à dos avec lui contenant le minimum pour survivre : Un couteau, un briquet, et une lampe torche. 

A l'orée de la forêt, ils déposèrent la malle. John était décontenancé. D'un côté, il était heureux d'ètre là. MAis de l'autre, et ce depuis le début, John sentait que quelque chose clochait. Mais il était trop tard pour renoncer. Et puis, la récompense était son désir ultime : Sauver sa mère.

Cette femme est tout pour lui. Elle s'est toujours pliée en quatre pour lui apporter soutient et affection. Même quand il à sombrer dans la drogue et la dépendance, elle était toujours là. C'est elle qui l'a soutenue par la suite quand il était sobre, mais au chômage. Il lui était plus que redevable. Il le lui devait. Même si il affronterait des choses dont il ignorait tout, il se dit que dans 24 heures tout sera fini.

Même avec un cancer, sa mère était toujours la pour lui. Aujourd'hui, elle peut à peine se mouvoir dans son lit. A chaque fois que John se rendait à son chevet, elle se forçait à sourir, en dépit de sa forte douleure apparente. Sa mère, sylvianne, était tout pour lui. C'était fous à dire, mais ses son seule rayon de soleil. Rester 24 heures sur cette plage paradisique, pour la sauvé, était un marché plus que honnète.

Un claquement raisonna et le tira de ses songes. Ichi ouvrait la malette. Il en sorti un papier et un crayon. C'était le contrat. Tout ce que l'homme en noir lui avait appris y était retranscrit. En échange de 24 heures de passer sur cette île, une somme de 10 000 euros seras adresser des la fin de ce délai au prévenu ainsi que le traitement dont il veut bénéficier.

Une close prévoyait également une demande de diffusion d'image que ce soit. John demanda à Ichi pourquoi. "Ses 24 prochaines heures seront retransmisent au membres de la société Usul" Présisa Ichi. Le naufragé accepta et signa son contrat.

Un sourir se dessina sur le visage de Usul. Il referma la malette et laissa un exemplaire à John. Il retourna vers la plage, en laissant la malle sur la plage. Sa malette en main, il se dirigea vers le zodiak. Le naufragé se posa volontaire pour l'aider à mettre le canot à l'eau. Mais Usul refusa. D'un geste, il l'invita à étudier la mal.

De couleure marron vert, la malle était plutôt grande, et s'ouvrait facilement. John souleva le couvercle. Les cris des oiseaux sifflait dans ses oreilles. C'était un son aggréable. Le naufragé apperçut le fond de la malle. Il tomba à la renverse. Les oiseaux se turent. Il y avait au fond une fusée de detresse, avec la mention : "pour les faibles. Pour stopper le jeu"

Un autre objet était présent. Un objet qui le faisait trembler de la tête au pied. Plus aucun oiseau ne chantait. C'était un révolver. Chargé. Les oiseaux s'envolèrent, lorsque John le sortit de la malle. Plus aucun oiseaux n'étaient observable à présent. Le naufragé ruisselait.

"Mais qu'est-ce que..." balbutia t'il

***

"Paradisia, qu'il pensait..."



L'île infernaleOù les histoires vivent. Découvrez maintenant