Chapitre 10

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(Si la publication ne marche pas je démissionne)

 Elle m'attendais assise à la table de la salle à manger, elle avait l'air triste et énerve en même temps. Zea lui a dit c'est sur. Il est tout le temps dans ses bras, elle l'éloigne de moi. Je ne l'aime pas, elle va encore m'énerver avec ses remarques.

"- Ame j-

- Je ne m'appelle pas comme ça! Pour toi c'est America!"

Elle n'a pas le droit de m'appeler comme ça, seul mes proches ont le droit. Elle n'est rien pour moi.

"- Laisse moi parler America! Tu n'es pas la mère ici!

- Tu es pas ma mère! J'ai pas à t'écouté! Juste casse toi, on était bien mieux à quatre sans toi, tu viens tout gâcher! Je te hais! Si tu crois qu'un jour quelqu'un va t'aimer tu te fou le doigt dans l'œil!"

Je partis m'enfer dans ma chambre, je m'en foutais de ce qu'elle pouvait dire et je ne regrettais pas un mot de ce que j'avais prononcer. Bizarrement, il y avait des choses qui avaient changé dans ma chambre. J'avais vendue beaucoup de meuble pour faire de l'argent en plus mais pourtant ma chambre était bien meublé et la peinture était nouvelle, je pouvais le sentir à l'odeur. Cette nouvelle chambre ressemblait à la chambre de mes rêves. Je m'étais sûrement endormis sur mon, ça ne pouvais pas être le cas.

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Je ne pensais pas qu'elle allait dire ça, ses mots m'avaient profondément blessé, c'était comme ce prendre un coup de couteau en pleins cœur. Quand quelqu'un te dit des mots blessants tu peux faire en sortes de ne pas les entendre mais quand c'est ta propre fille qui dit ça, tu es plus que blessé. Mais elle avait raison, ça me faisait mal de le reconnaître mais elle avait juste raison. J'étais venue perturber leur paix en m'incrustant dans leur foyer, je voulais juste qu'ils aient quelqu'un sur qui compter. Mais elle a raison, personne ne m'aime, personne ne compte sur moi, personne ne veux de moi. Je vais juste partir,oui les laissé tranquille. Quand je serai parti je leur payerais encire les factures, ils n'ont pas à s'occuper de ça. Je vais aller préparer des cadeaux. Ame a déjà le sien,je lui est fait refaire sa chambre comme ses frères mavaient d'écris la chambre de ses rêves. Zea voulait un chat, Britain aime les chats je lui en acheterais un. Pour Aussie des macarons et des pâtisseries, il adore ça. Et pour Canada une toute nouvelle Cross de hockey. Oui je pense que ça leur plaira, allons préparer ces cadeaux. Après avoir déposé les cadeaux dans les chambres respectives je partis leur faire une lettre.

Les enfants quand vous lirez cette lettre, je serai sûrement partis. Si vous m'appelez je doutes que je pourrais vous répondre, mais sachez que je vous aime, je vous aime de tout mon cœur. Je ne peux pas rester plus longtemps, j'espère que vous vous porterez bien. Ame tu es ma charmante fille aînée protège tes frères. Aussie tu es un bon garçon mais fait attention avec tes animaux sauvages. Canada je compte sur toi pur que les autres reste heureux dans nimportes qu'elle situation. Zea excuse moi, je ne savais pas quoi t'écrir mais sache que je t'aimme mon bébé. Prenez soin de vous. Votre maman qui vous aime de tout son coeur

A ne pas croire que je n'ai rien laisser pour Zea, dans sa chambre il y a une lettre rien que pour lui, dans cette lettre je lui dis juste de me dire quand sa soeur fait ses bêtises et je lui est donné un numéro que lui seul pourra utiliser pour me prévenir si ça empire. Je fis mes affauires et sortis de la maison, les garçons n'allaient pas tarder à arriver. Je regarda une dernière fois la maison qui fut le mienne à un temps et je partis. Ils vont tellement me manquer. Les larmes redoublés plus je m'éloigner de la maison.

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Les garçons rentèrent à la maison, ils se doutaient bien que quelque chose n'allait pas. Ils virent la lettre et les cadeaux que leur avait laissé leur mère, ils pleuraient, elle allait leur manqué. Ils allèrent voir America, elle n'eu pas la réaction qu'ils attendaient de voir de sa part. Elle n'en avait rien à faire.

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Maman.... C'est de ma faute si tu es partis, je regrette ce que j'ai dis. Je veux plus être seul maman. Je t'aime maman c'est faux tous ce que je t'ai dis. Je resta dans ma chambre toute la soiré. Demain était la dernière journée avant les vacances, je dois encore être un peut forte pour ne pas montrer ma douleur à mes amis. Je ne suis qu'une idiote. Je m'excuse maman. Je ne me rendis pas compte que je m'endormis, le lendemain matin Canada était venu me réveiller et je m'étais vite préparer. Je voyais mes frères, ils étaient si triste, si ils savaient à quel point je suis une mauvaise soeur. Je les serras fort dans mes bras avant de partir en cours. J'arriva près de mon groupe d'amis, les voir rires me fit sourire.

"-Salut. Avais-je lancé d'un ton bas.

- Est ce que ça va? Me dit South

- Oui... Je suis juste un peu fatigué.

- America, si il y a un truc qui ne va pas du kannst nous le dire.

- Si bello! Il a raison, tu peux tout nous dire.

- Je vais bien, je n'hésiterais pas à me confier à vous."

Ils me prirent dans leur bras.

"- Au faite Italy-san j'ai quelque chose pour toi!"

Japan sortis un gode de son sac et on lui fit tous un placage pour que personne ne voit ce qu'elle avait sortis de son sac. Italy était plus que gênait. Italy rangeas rapidement le gode dans son sac. Je ne pensais as qu'il allait le prendre mais comme quoi. Je décida de faire un petit tour dans la cour avant que les cours commencent, mais quelqu'un en avait décidé autrement. C'était Russia, il me tenait par le bras et il me tira à l'arrière du bâtiment.

"- Tu comptes leur dire quand pour tes. Il mima des seins.

- Je ne sais pas mais pourquoi tu fais ça pour en parler?

- Je sais qu'il y a quelqu'un qui nous écoute je pense que tu n'a pas envie de lui expliquer tout de suite."

Comment savait il que quelqu'un nous écoutait?

"- Oui, tu as raison.

- France peut elle encore passer pour voir Ukraine à la maison?"

Je n'arrivas pas à me contrôler devant lui et j'explosa en larme. Il me prit dans ses bras et me serra fort contre lui. Son corps était chaud et rassurant. Il me caressa gentiment le dos.

"- Il y a un problème avec France?

- Maman... Elle est partie de ma faute.."

Je pleura encore plus en m'accrochant à son cou.

"- C'est pas de faute, et même si c'était de ta faute, elle ne t'en veux pas crois moi!

- Umm...

- Allez, fait moi un grand sourire que tu fais si bien!"

Je sécha mes larmes et lui souris, il était vraiment très gentil. On partit en cours ensemble quand nous entendions la sonnerie retentir.

Laisse moi tranquille!Où les histoires vivent. Découvrez maintenant