La nuit passa en un claquement de doigts, les doux rayons du soleil passèrent doucement par la fenêtre, venant caresser mon visage. J'ouvrais alors doucement les yeux, resta quelques secondes encore allongée le temps que je puisse m'habituer à la lumière du jour. Une fois levée je me dirige vers la cuisine pour me faire un café et prendre le petit-déjeuner. Après avoir mangé et débarrassé ma table je me suis habillée pour aller travailler. Car oui, on m'as assuré un emploi pour ma bonne "réhabilitation dans la vie commune ", naturellement personne ne sais d'où je viens dans l'établissement où je vais travailler, ils pensent tous que je suis juste une employée transférée.
En partant pour le travail je souhaite une bonne journée à la femme de l'accueil en lui donnant à nouveau mon plus beau sourire. En arrivant sur le lieu de ce qui allait être mon nouveau travail, j'observe l'endroit qui allait être également ma nouvelle source d'apprentissage. Je regarde alors mes nouveaux "collègues", tous étant vêtus de blanc... Je ne connais que trop bien ces tenues, je les ai vues chaque jours pendant plusieurs heures, pendant 2 ans... He oui me revoilà entre ces quatre murs blancs non pas comme patiente non, mais comme "médecins" ou comme ils le disent analyste psychiatrique, je sais bien que j'avais dit que mon nouveau boulot était analyse des comportements humains mais honnêtement, qui prendrais cela au sérieux ? Cela sonne comme si le monde était une grande expérience et que les personnes la peuplant étaient mes cobayes, ce qui en un sens n'est pas totalement faux mais ce n'est pas l'impression que je veux donner. Pour pouvoir me fondre dans la masse il faut que je reste un minimum crédible et surtout dans un environnement que je connais bien. Je balaie la pièce du regard, certains employés ont l'air stressée, d'autres viennent de passer un moment compliqué avec un patient instable et d'autres encore ont l'air confiant mais enfaite angoisse énormément de passer au prochain patient. C'est pathétique... Toutes ces émotions inutiles qui ne font qu'augmenter l'adrénaline et pousser une personne à faire des choses stupide, tout ça causé par quoi ? Des personnes considérées comme folles, mentalement invalides ou incontrôlables. Quel dommage que les gens à la tête de notre monde ne puisse pas contrôler chaque pion comme il se doit, mais après tout dans un jeu d'échecs, il y as toujours de pions à sacrifier.
Après avoir un peu analysée mon environnement je me dirige vers le bureau de la personne à la tête de cette endroit, c'est à dire le directeur. Je toque à la porte avant d'entrer et m'asseoir en face de lui. L'homme se trouvant devant moi as l'air d'avoir dans la trentaine, Notre entretien peut alors commencer.
~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~
Ce Chapitre est bien plus court que les précédents et je m'en excuse mais cela fais également un petit moment que je n'ai pas poster alors que j'avais commencé ce chapitre depuis déjà la sortie du précédent . Donc je voulais au moins mettre en ligne ce que j'avais écris pour pouvoir passer au chapitre suivant. Malheureusement c'est parce que je n'avais pas vraiment d'inspiration pour ce chapitre ci qui est un peu un chapitre de transition pour ce que vas vivre Caitline dans son nouveau travail et je ne savais pas vraiment quoi écrire pour cette "transition". Donc voici au moins quelque chose après autant de temps ^^". Les prochains chapitres seront plus consistants également, sûrement avec autant de mots que les trois premiers chapitres si même plus.
C'était tout ce que j'avais à dire pour ce chapitre très court. Le chapitre 5 prendra moins de temps à arriver aussi x)
VOUS LISEZ
Le Masque Contre La Réalité
General FictionAucune description ne pourra réellement décrire cette histoire. De la folie ou du bon sens juste incompris? Hé bien cher lecteur c'est à toi d'en juger