20.

109 8 0
                                    

Trois jours. Trois jours que le blond avait quitter l'appartement de ce Hoseok, il n'avait toujours pas revue son meilleur ami. Il était dans sa chambre et tourner en rond depuis déjà quelques minutes, ses parents n'avaient encore rien remarqués. Et il croisait les doigts pour qu'ils ne le surprenne pas en train de se soigner. Taehyung ne donner aucun signe de vit et le plus petit ce demander bien si quelques choses lui était arriver, il voulait le voir mais désespérer d'une réponse de l'autre. Jimin n'en pouvait plus il entendait encore ses parents se disputer, il prit un sac et y mit quelques affaires au cas ou, descendit l'escalier, récupéra quelques fruits et partit en claquant la porte. Son père aller lui passer un savon mais il en avait plus que mare de devoir jouer celui qui accepte tout s'en rechignée et surtout celui qui subit leurs cris. A l'entrée il y retrouva son vélo à la couleur marqué par les années, autrefois bleu roi il était devenue presque d'un bleu pastel, délavé. Mais il l'aimais quand même ce vélo. Alors il grimpa dessus à la seconde ou la voix de son paternel lui cria des mots dont il ne prit même plus le soin d'écouter. Il n'en avait plus envie, il s'en ficher réellement. Et peut être que c'était l'adrénaline qui parler, peut être que dans une autre version il serait gentillement repartit à l'intérieur de la maison bien au chaud, ou alors il n'aurait pas passer le seuil de la porte. Et parmi toutes les versions qu'il imaginé celle ci semblait si euphorique, si irréel, si folle. Voila, il était conscient mais agissait comme un fou.

Taehyung l'aurait raisonner si seulement il avait donner un signe de vie depuis la dernière fois, étant donner que ce n'était pas le cas, il mit de coter toutes pensées négative. Il pédalait vite, s'éloignant le plus vite possible de sa maison. Le vent le faisait se sentir puissant, la vitesse animer son cœur d'un tremplin d'émotions, il lâcha son guidon écartant ses bras des deux coter, il ferma les yeux comme pour s'imprégnier du moment, de cette sensation folle. Il reprit quelques instants plus tard sont guidon, les yeux quémandant de ne pas s'ouvrir tout de suite, mais il le fit. Il apercevait déjà la route prendre une incurvations. Lors du virage au lieu de l'emprunter entièrement il quitta le bitume pour tourner violemment entre les feuillages, il s'engouffra de plus en plus dans tout c'est arbres robuste, renfermant de nombreux souvenir de bien trop d'années. Trop aveuglé par l'adrénaline, il continua sur un chemin déjà bien tasser par de nombreux passages qu'il n'avait pas forcement l'habitude d'emprunter, la forêt semblait immense et lui sembler si petit, que ce qu'il aimait ça. Sont corps vibrer, son cœur batté d'une vitesse ahurissante, et pourtant même lorsque que les branches sur son chemin l'entailler à plusieurs endroits il continuait, mais il se sentait bien la, dans cette liberté empoisonné. Dans cette liberté plus qu'emprisonnante.

Il continua malgré tout, malgré le chemin bossus et étroit. Malgré ses mains fermement cramponner à son guidon qui trembler à en faire vibrer ses os. Son cœur battait à la chamade, à lui en faire presque mal, son organe vital pulsé, pomper, vivais.

L'espace d'un instant sa lucidité semblait le rattraper, son père été probablement furieux, chaque minutes de plus sa rage devait accroitre et ses chances d'esquiver une violente dispute devenait mince. Il expira bruyamment, cassant les mélodies silencieuse que lui joué la forêt, il se mit à observer l'entendue de bois autour de lui. Un filet de brume sillonné le bosquet, c'est vrai; le temps n'était plus si chaud. Le soleil ne se montrait plus comme avant, le vent devenait glacial, et les température avaient chuter. Il reparti après avoir longtemps observer ce paysage si poétique, si libre et en même temps si restreint, si oppressant. La seule chose qu'il regretté à présent fut qu'avec la précipitation il en avait oublié de se couvrir convenablement, bien qu'il avait mis un de ses gilets noir à capuche dans son sac, il était rester en t-shirt jusque la, allez savoir pourquoi. Il avait froid, ses entailles n'était pas grosses mais certaines profondes, mais en quelques sorte, sentir ses poils s'hérisser, sentir la désagréable sensation de chaleur après une blessure, tout ça le faisait rester sur terre d'une certaine manière. Il avait la chair de poule, mais ce n'était pas si grave. Au pire il tomberait malade en espérant que ça mère aura pitié et lui prive du calvaire qu'était le lycée, il fallait bien être ambitieux pour être traiter de fou, non ? Bien vite, un certain arbre marqué d'une croix attira son attention, il dériva sa trajectoire et descendit de son vélo aux couleurs du ciel, le trainant à ses côté et le soulevant quand de racines semblaient d'humeur à se frayer sur son chemin. Jimin ne compter plus les fois ou il imaginé un dragon sortir de ce brouillard qui rendait la foret particulièrement mystérieuse, l'atmosphère était surréaliste, sombre. Jimin ne compter plus les fois ou il avait souhaiter, prier, pour apercevoir se brouillard se fendre de part les iris grisé de l'animal couleur neige. Jimin ne compter plus, mais imaginer toujours. Jimin imaginer toujours, pour corrompre la réalité. Tout était alors plus beau, plus irréel, plus fantastique et utopique même si une avait été pourtant réel. Vivante de sens et de sang.

Why are you sad ?Où les histoires vivent. Découvrez maintenant