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Le jour tant attendu était arriver, aucun père à l'horizon pour Jimin, alors avec le sourire il était rentrer, dansant et chantant après avoir mit de la musique. On était un vendredi soir, il venait de fraichement sortir des cours plus qu'ennuyant qu'il avait du subir et pourtant son humeur avait directement changé une fois rentrer chez lui. Bien que son meilleur ami l'avait accompagné sur le chemin du retour -comme toujours finalement-. La journée avait été particulièrement étrange, le ciel semblait couvrir quelque chose et l'atmosphère en payer les frais, ajoutons à sa le manque de sommeil plus qu'évident du blond, avec des gens qui l'avais grandement agacé en début de mâtiné, la journée avait été particulièrement lourde en faite. Le ciel était orné de toute part de nuage gris, semblant s'abstenir de pleuré aujourd'hui, mais Jimin le craignait tout de même un peu.

Il repensa à cette nuit, cette interminable nuit, où il n'avait pas réussis à fermer l'œil avant les cinq heures du matin alors qu'il se lever à peine deux heure après. Sa blessure l'avait en grande parti tenue réveiller, le tiraillant plus que c'est dernier jours sans vraiment de raison. Mais il n'en avait pas prit compte au réveille, il pouvait s'agir d'une insomnie toute à fait banale, ou bien peut être d'un mauvais jour. C'était peut être juste ça finalement. Ou peut être pas. Quoi qu'il en soit, il avait gardé sa douleur en silence pour n'inquiéter personne, en dépit de quelques grognements qu'il n'avait pas pu retenir, il semblerait que personne - et surtout pas Taehyung- ne ce soit douter qu'il souffre depuis l'aurore.

Il vérifia l'heure et se pressa pour se diriger vers la salle de bain, il y rentra après avoir récupéré les vêtements qu'il avait au préalable préparé, puis referma doucement à clés derrière lui. Ne voulant pas inquiété sa mère, qui, depuis longtemps le lui avait interdit à cause d'un malheureux accident il y a de ça quelques années. Quatre ans, soit mille-quatre-cent-soixante jours. A l'époque, il avait prit la facheuse habitude de s'enfermer à clés pour que personne ne puisse le déranger, secrètement, il dansé dans sa chambre face à son pauvre miroir d'à peine un mètre trente de longueur, et il aimait ça. Mais en été gêné, que quiconque apprenne qu'il danse, puisque que c'était une porte direct en direction de moqueries et de jugement. Il n'en avait jamais parlé à ses parents parce qu'à l'époque les problèmes étaient déjà la, qu'il savait que son père le critiquerais à propos de sa; qu'il veuille danser de la danse contemporaine. Il savait ce que dirait et penserait son père, ayant assister à tous ces propos sexistes et homophobes, aucun genre n'avait échapper à ses paroles horrible. Mais à l'époque, Jimin se réconforté en pensant que son père ne pensait pas exactement ce qu'il disait. Mais, un jour, la fatigue et la pression l'avait grandement englouti, rattraper, comme l'aurais fait une tempête au milieu de l'océan. Une dispute encore, encore et encore, c'était trop, alors devant son miroir ses gestes n'était plus doux, il était colérique, puissant.

Maitrise d'une puissance majestueuse, gardant une élégance qu'il ne savait pas. Alors que ses pas étaient grandement limités, comme restreint, tenu, voir même emprisonné. Il aurait fait de longue métaphore lié avec son père et la liberté d'expressions que représentait la danse pour lui, limiter par l'espace qu'il avait. Seulement voila, ce jour la, rien n'importer, pas même l'humidité alarmante de ses joue causer par de grosses larmes. Essoufflé, peiner, il avait danser plus ardemment que jamais, reproduisant sans difficulté plusieurs mouvements qu'il avait observer grâce à de nombreuses vidéos d'artistes en tout genre, seulement voila, encore une fois il chuta lourdement sur le côté, chutant d'abord sur son poignet.
Déjà deux semaines qu'il s'acharnait sur ce pauvre mouvement, et qu'en bien même il avait essayer, il n'avait jamais réussis à l'exécuter. Mais cette fois ci, la douleur l'avait semblait plus aigüe, plus tranchante; il s'était ouvert sur un morceau de verre qu'il avait casser la veille, qu'il avait visiblement oublier de ramasser. Qu'importer, il saigner à flot, et la panique l'avait prit lorsque de sa main tremblant il avait retiré le morceau de verre. Soufflant bruyamment, perdant rapidement son sang froid, il s'était levé et avait avec difficulté déverrouillé sa porte avant de se précipité dans la salle de bain qui était non loin de sa chambre, à seulement cinq pas, cinq pas s'était rien, non ?
Ses pas avait été lourd, tremblant, alors qu'il passait la porte déjà grande ouvert et qu'il s'était enfermer, encore. Malheureusement, à la vue de tout se sang, avant même qu'il puisse s'assoir sur le rebord de la baignoire il s'était évanoui, la fatigue avait surement du jouer de ses cartes elle aussi. Sa mère l'avait retrouver par miracle, alarmer par les gouttes de sang au sol et le tranchant bout de verre laisser vulgairement à l'abandon sur le sol de sa chambre. Elle avait eu peur, vraiment, quand elle s'était rendu compte que le verrou était le seul obstacle pour atteindre son fils. Depuis ce jour, ce jour où elle avait retrouver son précieux fils le poignée en sangloter, à terre, elle avait grandement hésité à retirer tout verrous. Mais elle s'était résigner, prenant conscience que l'intimité était importante à cette age la, bien que finalement son fils s'en était sorti avec un gros hématome à la tête qu'il s'était fait en heurtant le rebord de la baignoire, et un imposant bandage au poignet. Et voila qu'aujourd'hui, il s'enferma à nouveau dans cette même salle de bain, éloignant tout souvenir de ce moment. Comme si finalement, ce n'était rien.

Why are you sad ?Où les histoires vivent. Découvrez maintenant