Le destin d'assia 🌺 tome 2 (Chapitre 5)
Malick : Izoudeen, tu peux m'expliquer ce qui ce passe s'il te plaît, parce que là je ne comprends rien. Jasmine, kidnapping, etc...soit précis parce que là je suis perdu. (Dit il d'un air....sincèrement je ne saurais décrire ça. )
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Je lui expliques ce que ma mère ma raconté et aussi la théorie d'assia.
Suite à mon explication Jasmine éclate en sanglots.
Jasmine : Soubhannallah, vous parlez de moi là ? Maman je me suis tellement battue pour que tu sois auprès de tes enfants, maintenant tu me fais passés pour la méchante....quant à toi assia je te vois comme une sœur, je sais que tu es traumatisée et tu cherches un coupable pour le kidnapping de ton fils mais je te promets que je ne suis pas la méchante. Wallah je ne ferai jamais de mal à une mouche encore moins à un bébé, non mais vous vous entendez parler ? (Dit elle en larmes)
Malik dit moi que tu ne crois pas en ce qu'ils disent.
Malick:..............
Jasmine : Répond Malick, regarde moi dans les yeux et dis moi que tu as confiance en moi.
Malick se lève et me demande de le suivre dans le jardin. Je crois qu'il veut avoir une conversation à deux.
On laisse les dames au salon.
Dans le jardin.
Malick me demande mon point de vue sur la situation.
Je lui expliques que ma mère n'a aucun intérêt de mentir sur Jasmine qu'elle a toujours considéré comme sa propre fille, il ya assia qui avait vue une voiture qui ressemble à celle de Jasmine dans ce maudit quartier, et pour couronner le tout c'est elle qui avait obligée assia à sortir les bébés à l'extérieur de la maison.
Moi: Tout ceci est suspect Malick, moi je crois que ta femme n'est pas aussi propre qu'elle le prend.
Malick: Renversons la situation. Là c'est moi qui vient te raconter tout ceci sur assia. (Dit il d'un ton dégoûtant)
Moi: Aaaah je comprends ta position. Je crois que c'est mieux qu'on arrête cette conversation pour le moment.
Malick : Non tu réponds à ma question izoudeen.
Moi: Tu sais mieux que n'importe qui qu'elle est cline comme l'eau de Roche. Mais Jasmine tu l'as connais à peine, tellement de chose coïncide et.......
Malick : ASSEZ IZOUDEEN ! TU PARLES COMME UNE FEMME LÀ ! JE NE TE RECONNAIS PLUS.
MERDE! PARLES AVEC CERTITUDE.
Moi: TU BAISSES LE TON FRÈRE. Et je parles avec certitude. il y'avais une preuve qu'elle a détruite. ET OUVRE LES YEUX MERDE. APART LA FAMILLE PERSONNE NE SAIT QUE MA FEMME ET MOI AVIONS HÉRITÉ DE 20%.
Seul un membre de la famille peut faire ce genre de coup en un si peu de temps. me prendre toute ma fortune.
Malick : Oui membre de la famille, je confirme, ça peut-être ta mère qui nous a toujours abandonné pour de l'argent, tu as réfléchis une seconde à cette possibilité ? Bizarrement c'est elle qui apporte l'info.
Moi: Elle a changer et je t'interdis de la manquer de respect.
Malick : Et moi je t'interdis de manquer de respect à ma femme.
On sait disputer tellement très violemment avec des tons très élevés, au point d'alerter les dames et les employés.
Maman halima se met entre nous et nous demande de baisser le ton.
Ma-halima : Assez ! Comment deux frères peuvent se battre comme des ennemis ? Vous n'avez pas honte de vous disputer ? Malick quant-a toi n'oublie pas que vous êtes tous mes enfants, et je vous connais assez bien pour mettre chacun à sa place...
