Chapitre 43 Une nouvelle année et perdre le terrain

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Lily soupira en regardant les propriétés situées à l'arrière du Daily Prophet. Aucune des propriétés qu'elle pouvait se permettre de toute façon n'était suffisante, enfin rien à quoi elles étaient habituées. En fait, avec l'argent qu'ils avaient réellement dans leur coffre-fort, ils n'arriveraient qu'à obtenir une maison de deux chambres à Knockturn Alley. Elle préfère dormir dehors dans la forêt interdite que d'acheter un tel endroit. Il avait un besoin urgent de réparations! Et qui savait quelles créatures elle aurait comme voisins. Comme elle voulait étrangler le garçon, c'était de sa faute si elle était si stressée et inquiète tout le temps. Elle n'avait jamais dû être comme ça, elle écoutait les autres passer par là, mais elle avait toujours été très sûre financièrement.

Jusqu'à il y a quelques années, non seulement ils avaient perdu leur position dans le monde sorcier. Non seulement sur le plan social, mais aussi au sein du ministère, les sièges que James avait sur le Wizengamot appartenaient désormais au petit gamin idiot. Fermant les yeux, elle respira profondément, essayant de faire reculer sa colère. Grondante, elle plissa le journal et le jeta dans les flammes. Elle éprouva un certain sentiment de satisfaction, regardant le papier brûler, jusqu'à ce qu'il ne soit plus qu'un tas de cendres. Qu'allait-elle faire? Elle ne pouvait pas en supporter beaucoup plus. Elle n'avait jamais travaillé; elle s'était mariée à Poudlard et avait eu des enfants. Bien sûr, elle faisait du ménage, s'occupait des enfants, mais ce n'était rien comparé à la charge de travail qu'elle avait maintenant. C'était épuisant, elle ne pouvait pas arrêter. Sinon, ils n'auraient nulle part où rester, James a toujours séjourné ici à Poudlard, quand il ne travaillait pas bien sûr. La guerre commençait vraiment, les gens mouraient et si elle ou James mourait... leurs enfants n'auraient rien à leur nom. Elle avait quelque chose a faire; ils devraient visser encore plus l'écrou. Plus rien, une maison devait être la première chose qu'ils achetaient. Malgré le fait qu'elle et James étaient en colère l'un contre l'autre pour le moment, cela ne veut pas dire qu'ils ne se voyaient pas d'accord quand cela importait.

C'était important. Avoir une maison pour leurs enfants était important. Un paradis sûr de la guerre.

"Tu vas encore me pardonner?" demanda James alors qu'il sortait de leur chambre partagée, parlant doucement par habitude. Sa fille avait dormi dans la pièce voisine tout l'été, donc il allait falloir s'y habituer juste à être eux. Ses robes d'Auror étaient déjà repassées. Il attachait actuellement son étui à son poignet. Tous les Aurors ont choisi de les porter; cela a empêché leur adversaire de pouvoir invoquer leurs baguettes.

"Il y a trop de guerre et de destruction à l'extérieur de ces murs pour se battre entre nous." dit Lily avec fatigue, se sentant soudain très épuisée. Elle détestait se battre avec James; ce n'était pas quelque chose qu'ils faisaient normalement. Tout avait changé et elle n'aimait pas ça du tout. Un soupir quitta ses lèvres fatiguées tandis que James s'approchait d'elle, enroulant ses bras autour d'elle pour lui donner le réconfort dont il pensait qu'elle avait besoin.

"Hé," dit doucement James, "Ne t'inquiète pas, Lils. Tout va bien se passer, tu verras."

Lily est restée silencieuse, elle voulait le croire, et elle l'a vraiment fait. Malheureusement, la partie optimiste d'elle s'était éteinte il y a longtemps. Sa famille était en ruine; peu importe combien ils le maintenaient ensemble, ça n'allait jamais être comme ça. Nick ne leur parlait pas, Roxy était à peine dans les parages et s'isolait dans la Bibliothèque chaque seconde qu'elle pouvait. Chaque fois qu'elle a essayé de lui parler, elle a obtenu de brèves réponses, puis elle n'a vu que ses filles. Elle n'avait jamais été une fille très populaire, mais elle avait toujours eu des amis. Severus surtout pendant son enfance avec sa sœur qui les accompagnait. À Poudlard, elle était restée avec Severus jusqu'à sa cinquième année. Le sentiment d'être qualifiée de si mauvaise réputation par son seul ami piquait toujours après toutes ces années. Il avait été son seul ami, une partie d'elle avait été jalouse cependant, avec lui se lier d'amitié avec des sangs purs. Elle l'avait perdu, elle a donc décidé d'être la première à rompre tous les liens. James avait été là pour elle, quand elle avait été si seule, sans amis, et c'était elle. Elle était partie avec la première personne pour lui montrer son attention pendant ses années de solitude. Elle s'était liée d'amitié avec les gens avec qui James traînait; ce n'est qu'il y a deux ans qu'elle a réalisé qu'elle n'avait pas un seul ami au monde. Ce qu'elle ne ferait pas à qui parler, lui donner des conseils et sympathiser avec sa situation. Oh comme elle souhaitait que sa mère soit toujours en vie, elle aurait pu aller vers elle. En discutant autour d'une tasse de thé, elle avait toujours pris son parti quoi qu'il arrive. J'étais si seule, sans ami, et ça avait été elle. Elle était partie avec la première personne pour lui montrer son attention pendant ses années de solitude. Elle s'était liée d'amitié avec les gens avec qui James traînait; ce n'est qu'il y a deux ans qu'elle a réalisé qu'elle n'avait pas un seul ami au monde. Ce qu'elle ne ferait pas à qui parler, lui donner des conseils et sympathiser avec sa situation. Oh comme elle souhaitait que sa mère soit toujours en vie, elle aurait pu aller vers elle. En discutant autour d'une tasse de thé, elle avait toujours pris son parti quoi qu'il arrive. J'étais si seule, sans ami, et ça avait été elle. Elle était partie avec la première personne pour lui montrer son attention pendant ses années de solitude. Elle s'était liée d'amitié avec les gens avec qui James traînait; ce n'est qu'il y a deux ans qu'elle a réalisé qu'elle n'avait pas un seul ami au monde. Ce qu'elle ne ferait pas à qui parler, lui donner des conseils et sympathiser avec sa situation. Oh comme elle souhaitait que sa mère soit toujours en vie, elle aurait pu aller vers elle. En discutant autour d'une tasse de thé, elle avait toujours pris son parti quoi qu'il arrive. Ce qu'elle ne ferait pas à qui parler, lui donner des conseils et sympathiser avec sa situation. Oh comme elle souhaitait que sa mère soit toujours en vie, elle aurait pu aller vers elle. En discutant autour d'une tasse de thé, elle avait toujours pris son parti quoi qu'il arrive. Ce qu'elle ne ferait pas à qui parler, lui donner des conseils et sympathiser avec sa situation. Oh comme elle souhaitait que sa mère soit toujours en vie, elle aurait pu aller vers elle. En discutant autour d'une tasse de thé, elle avait toujours pris son parti quoi qu'il arrive.

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