Chapter twenty eight

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J'ai passé une bonne demie-heure à parler avec Callie, c'est vraiment une fille super. J'ai appris qu'elle a étudié deux ans à l'université de Floride, elle a obtenu une bourse d'étude dû à ses très bon résultats scolaires et ses nombreuses activités extra scolaires. Elle s'est spécialisée en finance afin de travailler dans le secteur de la banque, elle m'a alors expliqué qu'après deux ans, le secteur ne lui plaisait pas tant que ça, ce qui l'intéresse c'est la photographie. Elle pensait que ce n'était qu'une passion mais c'est bien plus que ça, elle s'est alors inscrite à un concours pour intégrer une grande école à New York. Elle ne pensait pas une seconde avoir sa chance, elle a fait ça suite à un pari avec une de ses amies, et finalement, les jurys ont été totalement comblé par ses photos et lui ont offert une place pour intégrer leur école. J'ai vu quelques unes de ses photos et c'est vraiment une pro, je lui ai promis que si j'entendais parmi les amis haut placé de mes parents, que l'un d'entre eux avais besoin des services d'un photographe, je la pistonnerais et ainsi se faire un nom au sein de l'Upper East Side. Je ne pensais pas que j'allais autant discuter avec elle mais comme nous n'avons que trois ans d'écart, ce n'est pas compliqué de faire la conversation. Après cette demi-heure, Cameron est venu me chercher, il m'a proposé d'aller dans leur jardin car il avait un truc à me montrer. Justement, nous sommes arrivés.

- Alors Cam, c'est quoi cette chose que tu voulais me montrer ?

- C'est ça. Me dit-il en pointant un panier de basket-ball. Tu te souviens que je t'avais promis que je t'apprendrais à en jouer, c'est le moment.

Un sourire apparaît sur mon visage, il essaye de me prendre par les sentiments avec ce panier. J'avais complètement oublié qu'il m'avait fait cette proposition et je suis aussi surprise qu'il s'en souvienne. Ce garçon ne cessera donc jamais de m'étonner.

- T'es un amour Cam mais je ne suis même pas en tenu pour.

- Ce n'est pas grave, on ne va pas faire un match mais au moins lancer quelques paniers. Par la suite, on s'entraînera de nouveau à la résidence pendant mes heures de pause.

- Ouais tu m'as convaincu. Bon je sais comment on lance un panier, je l'ai déjà fait, et je suis attentivement tous les matchs mais je ne suis pas très doué.

- Eh bien tu as en face de toi, le meilleur joueur de tous les temps.

- Ah donc maintenant c'est de tous les temps, ça va les chevilles, pas trop gonflés ?

Il regarde ses chevilles comme un idiot et me dis non de la tête, je ne peux m'empêcher de rire face à sa réaction et lui prend le ballon des mains. Je me mets à courir et tente de marquer mais ce fut un échec.

- Quel beau lancé mademoiselle Davis. Me dit-il ironiquement

- Ah, ah, ah, très drôle, mais je ne pratique pas donc c'est plus difficile pour moi.

- C'est pour ça que je suis là. Aller place toi face au panier, détends tes épaules. Tu viens ensuite ramener le ballon juste au-dessus de ta tête avec les mains rapprochées.

Il vient ensuite se placer derrière moi et pose ses mains sur mes hanches ce qui me provoque un frisson. Il place ensuite sa tête au-dessus de mon épaule afin que je l'entende correctement, sauf que ce qu'il ne sait pas, c'est que je n'arriverai jamais à me concentrer si monsieur est aussi proche de moi. Je n'ai absolument aucun contrôle face aux réactions de mon corps due à la proximité du sien.

- Tu vas ensuite détendre tes hanches, tu vas fixer le carré au-dessus du panier et sans réfléchir tu shoot bien fort en poussant sur tes pieds.

Je fais ce qu'il me dit et je tire aussi fort que possible et le ballon rentre. Je pousse alors un cri de joie avant de lui sauter au cou.

- Oui j'ai réussi, Cam !

Summer Love [TERMINÉ]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant