Si on devait mourir demain,
Je te prendrais la main,
et nous partirons
loin
ou tout fût un début,
ou tout fût un destin,
pour faire peur à la fin.
Tu es l'envie, tu es l'amour, tu es
le vent qui prend mes cheveux,
la lumière qui illumine le cœur aux cieux.
J'écris sur tes yeux et ton visage
à l'instant même ou tu es devant moi
c'est moi qui
fuit
je cours
je cours
mes yeux ne supporte plus la facade
je fuis
je fuis
j'ai peur de ce qui peut exploser
Si je m'attarde trop sur tes yeux.

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Les Poèmes Sages
Poesiaévite la nuance écrit les émotions en chansons qui ne feront jamais celles de Lomepal