[Bienvenue au QG des Army Pervers; soft]
Les chapitres Smut 🔞 aurons ce signe:❤️🔥
et les soft, fluff celui là :❤
Les autres ça 🧡
(J'accepte les idées aussi)
Actuellement en réécriture
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||Novembre 2020||
J'ai pris un temps fou à écrire celle là je pense qu'elle mérite un peu d'attention.;)
Bonne lecture ^^
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Malgré ta fatigue tu n'arrivais toujours pas à fermer l'œil. Tu te plaignais encore de toute la paperasse que tu aurais à faire demain.
Aujourd'hui tu venais de passer une dure journée à travailler avec tes profs particuliers. Couchée sur le dos, la tête enfouie dans ton oreiller, tu repensais à tous ces moments dont tu te laissais distraire par une simple et courte apparition de ton garde du corps qui ne te laissait pas indifférente. Tu trouvais ça pitoyable mais tu ne pouvais pas t'y empêcher.
Bien qu'il avait un certain nombre d'années de plus que toi, tu te permettais de le mater librement. Tu disais que c'était le fait qu'il soit un peu plus âgé que toi qui le rendait aussi parfait à tes yeux. C'était l'un de tes défauts; défier l'interdit.
Dessiner son corps que tu qualifie de chef d'œuvre De Michel-Ange était devenu ton hobby favoris.
"Kim Taehyung" travaillait pour ta famille depuis près d'un an, tes parents lui accordaient une confiance totale concernant ta sécurité.
Le fait qu'il ai toujours été là pour veiller sur toi t'as fait développer des sentiments pour lui, tu le voyais d'un autre œil, pour toi il était plus qu'un simple garde du corps.
Aller lui en parler ne t'as servi à rien, parce qu'à chaque fois il te disait que pour lui tu es et resteras sa protégée à la limite une amie, phrase qui par la suite t'as bien fait pleurer.
Tu chassas ces pensées à coup de pied de ta tête. À mainte reprises tu t'es juré de ne plus repenser à lui, mais à chaque fois tu recommençais encore et encore repoussant les limites jusqu'à l'extrême. Tu rêvais du jour où il pourra te dominer, embrasser chaque parcelle de ton corps, te murmurer des mots qui te feront fondre petit à petit. C'était mal, oui, tu le savais cependant cet homme énigmatique te hantait nuit et jour.
Et cette réalité aussi imposante qu'elle soit, te tracassait.
Tu te relèves brusquement pour t'asseoir, tu allumes la lampe sur la coiffeuse, tu soupires en te relevant de ton lit, ton insomnie persistant encore. Tu enfiles tes pantoufles pour marcher à pas hésitants sur le parquet jusqu'à sortir de ta chambre. Tu te dirigeas vers le grand salon. Tu fus étonnée de voir qu'à cette heure les lumières étaient encore allumées.
En arrivant au seuil, tu fusille la salle du regard, ne voyant personne tu en profites pour bailler à t'en décrocher la mâchoire.
