MA VIE, MON DURE COMBAT et mon âme sœur

Chapitre 1

Salut, toi mon nouveau journal,

Aujourd'hui nous sommes le 4 mars 2053, tu sais ce que ça veut dire ça fait va faire treize ans que l'enfer qui est ma vie a commencé; enfin plutôt que la vie a décidé que je vivrais en enfer en accumulant les maladies parfois mortelles mais enfin pour qu'elle le soit il faudrait que j'ai un organisme normal. Tu ne comprends pas... Mais oui désolé j'ai oublié de t'expliquer et de me présenter, excuse-moi se manque de politesse!

Je suis Avaé Parlove, j'ai 16 ans enfin bientôt dans 8 mois et demi. Je suis une fille au tempérament solitaire, je ne supporte pas que les gens soient proches de moi ou encore pire... qu'il me touche enfin à part mon frère, Karl (qui a 19 ans), ma petite sœur Sophia et ma mère. Tu dois te demander pourquoi pas mon père c'est simple on ne se supporte pas.

Je suis une louve dominante et mon père est un alpha extrêmement dominant donc il donne des ordres. Il "parle" qu'en donnant des ordres alors avec ma louve qui se nomme Fétia on se rebelle et désobéis. Quoi? je suis peut-être solitaire mais je reste une louve dominante alors par questions de recevoir des ordres, de qui que se soit où je lui arrache la tête.

Je sors brusquement le nez de mon journal en entendant un grand bruit de fracas. Aux aguets, j'essaye d'entendre ce qui se passe grâce à mon ouïe supersensible. J'entends mon frère jurer et dire que tout aller bien qu'il avait seulement cassé de la vaisselle. Mais je vous jure celui-là.

Je me mets à contempler ma chambre, mes murs sont gris clair, à l'opposer de ma porte se trouve une grande fenêtre donnant sur un lac entouré par une immense et verdoyante forêt ou est suspendus au-dessus des rideaux noirs transparent. Sur le mur à gauche de la fenêtre se trouve mon lit et ma table de chevet, en face de moi mon bureau ( très mal ranger) puis un rideau noir opaque qui donne sur mon dressing.

La voix grave de mon père m'ordonnant de descendre manger m'arracha de ma rêverie, pour le faire rager je lui réponds:

"- tu n'as pas d'ordre a me donner je viendrai manger quand j'aurai faim et pas avant.

- Avaé Parlove tu descends manger MAINTENANT et c'est MOI qui commande dans CETTE maison comprise? DESCEND TOUT DE SUITE J'AI DIT!" cria mon père

Je souffle et descend de mon lit. Avec ma perf je me dirige vers la cuisine. Quand je rentre dans la pièce je remarque que tout le monde est déjà à table.

"- Ma chérie tu es vraiment pale.

- Mais oui maman mais tu sais ça fait treize ans que je suis "pale". je lui réponds en imitant les guillemets

-Avaé me répond pas. D'ailleurs demain tu vas faire ta rentrée puis quand tu auras fini tes cours je t'emmènerai à l'hôpital et tu dors là-bas donc prépare tes affaires.

- oh mais c'est avec joie. Puis je me plante un couteau avec de l'aconite tue loup dans le cœur pour sauté a pieds joins en enfer et il faut ne faudrait pas aussi oublier de me faire torturer et violer mais bien sur c'est avec joie dis-je ironiquement à ma mère avec le sourire.

- Avaé!!!! s'exclame toute ma famille

-Mais quoi vous croyez que ça me fait plaisir de rien pouvoir faire de ma vie de me balader avec des machines et une perf implantée dans me corps, de devoir aller faire des examens interminables qui me font vomir et me donnent des migraines affreuses. Et tout ça POURQUOI? pour des résultats que personne ne comprenne. Cela fait exactement 13 ans que l'ont m'as privé de ma vie de jeune fille pour la remplacer par une douleur constante et des regards de pitié, une vie de tortures constantes. ET VOUS CROYEZ QUE CA ME FAIT PLAISIR QUE JE VAIS VOUS DIRE COMME UN BON PETIT ENFANT OUI MAMAN ET PAPA J'IRAI ET JE FERAI TOUTES CES TORTURES! dis-je en criant s'entend la colère montée en moi.

Ma famille me regarde avec pitié. C'est vraiment trop pour moi je quitte la table et me dirige vers ma chambre où je m'enferme pour m'écrouler sur mon lit en pleurant. Qui veut d'une vie où l'on ait bourré au cachet et que le moindre mouvement (comme ouvrir les yeux) demande un effort monumental? Moi je n'ai rien demandé?

Je tends le bras vers ma table de chevet et sors ma lame, ma meilleure ami, celle avec qui j'arrive à oublier tous mes problèmes. et je commence à me couper, voir le sens coulais le long de mon bras me fait un bien fou. Après tout je guéris de manière surnaturelle donc ce n'est pas si grave.Je continus sur tout le long de mon corps et étourdis je m'endors sur mes draps souillé par le sang.

j'espère que ça vous a plus la suite bientôt et prenez soin de vous