Serais-je toujours ton grand amour? Eren x Livaï

Chapitre 16

Livaï: j'ai été clair la dernière fois, je ne vois pas ce que tu veux de plus

Eren: ce jour là je suis sur que tu m'as menti

Livaï: et pourquoi cela?

Eren: mon intuition

Livaï: la même que celle qui te dit de me laisser me faire tabasser quand tu me vois?

Eren: joue pas à ça Livaï

Livaï: et toi sors de chez moi

Il me regarde avec un air sévère et s'approche encore plus de moi

Je sens mon coeur accélére et mes joues devenir rouges

Éloigne toi imbecile

Il prend un air sur de lui

Eren: comment je suis censé te croire alors que tu réagis encore comme un gamin fou amoureux ??

Livaï: ça n'a rien avoir avec toi  j-je j'ai juste chaud

Bégaye plus la prochaine fois

Eren: donc si je m'approche encore un peu plus ça t'es égal

Il avance effectivement jusqu'à ce que chaque parcelle de son corps soit à quelques centimètres des miennes

Livaï: er-eren arrête ça je t'en supplie

Eren: pas tant que je n'ai pas mes réponses alors dis moi ce que je veux entendre

Livaï: je je ne ne sais pppas ce que tu veux que je te te dise

Eren: la vérité, seulement la vérité, pourquoi tu m'as quitté

Ma respiration s'accélère, mes yeux s'humidifient et mon coeur se resserre je ne peux pas lui dire, c'est haut dessus de mes forces

Livaï: j'ai rencontré quelqu'un d'autre, je ne t'aimais plus

A peine ma phrase terminée, qu'il fronça les sourcils

Je ne l'avais jamais vu aussi énervé

Eren: tu m'as trompé??

Je sursaute en l'entendant crier et fini par hocher la tête trop épuisé pour parler

Eren: je t'avais tout donné, ma confiance, mon amour et tout ce que tu voulais et t'as réussi à me tromper... tch après c'est moi le connard

Il se lève et sans me jeter un regard sors de chez moi en me laissant seul au milieu de la pièce encore tremblant

Je finis par me lever au bout de plusieurs minutes et ramasse les bouts de ma tasse qui sont encore au sol

Je récupère mon livre et vais faire une sieste en oubliant tout mes problèmes

Le lundi

PDV Eren

Je n'ai pas fermé l'œil depuis que je l'ai vu

L'image de Livaï tremblant et rougissant aussi près de moi se faufile dans mon esprit

Elle se glisse sous toutes les formes pour aller là où mon esprit aimerait la fuir

Elle se mêle à mes pensées comme un refrain à toutes les paroles que j'entends

Elle se colle à moi et à ma douleur

Bordel ce que je peux l'aimer ce petit etre

Et pourtant je le hais