Prologue

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Tout les soirs j'avais pris cette farouche habitude de m'affalée sur mon lit, puis penser... penser un peu, beaucoup, beaucoup trop ! 

J'aimais pense. Certains aime écrire, dessiner ou  encore chanter. Moi j'aime penser. Je vous entends déjà me dire que tout le monde aime penser, qu'on ne peux pas en faire sa sois disant passion. Mais moi je l'ai choisie et je l'aime.

J'aimais penser pour oublier, pour m'éloigner et rêver. Je pensais à ma vie, ou plutôt à ma vie rêver car que dire de ma vie?

Définitivement rien de bien intéressant car je suis vide.

J'ai endurer jusque à présent dix sept  ans de vie sans rien vivre, en me sentant complètement vide. Je n'ai jamais su avoir d'amis,  de petit copain,  je n'ai rien veçut de se  que j'aurais du vivre.  L'adolescence romancée  des films, des livres et des chansons je ne la connais pas. Les soirées, l'alcool, l'amour, l'amitié, l'herbe bleue tout ses fantasmes de l'imaginaire adolescent je ne les connaissait pas. Jusque à présent je regardais les autres, je les regardais faire se que mourrais envie d'essayer : être heureux, insouciant, danser, boire, chanter, crier, pleurer, rire, faire des bêtise, vivre, découvrir.                    

J'attendais que tout commence, mais que voulez vous, ma vie était une pensée.
Je n'ai jamais rien su faire à part penser, m'éloigner du monde en mots et en images. En imaginant   tout en rêvant et disparaître autre part mais ne jamais agir, oh non jamais, ça me faisait trop peur. Vouloir la vie des autres mais avoir peur, terriblement peur de l'inconnue qu'est:  la vie.

Cette routine n'étais plus pour moi, je n'étais pas destiné à ça, j'en ai eu assez ce soir là.

parking ( H.S)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant