L'incident

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Commençons par les présentation, je suis Liliane Valdez, 17 ans, je vivais en campagne avec mon père, Martin, et ma mère, Hélène. J'était au cégep et j'espérais me rendre à l'université quand tout a commencer. Ma ville natale, Layton, était une petite ville de campagne aux États-Unis. Un hameaux perdu. Ma mère était scientifique militaire travaillant dans une base aux alentours de la ville. Je voulais devenir comptable, faire les comptes des gens et les aidées à avoir une meilleur vie. J'avais quelques amis comme Alex que j'avais connue au secondaire, il était comme un frère pour moi. Il est tous ce qui me reste à présent. Je me rappelle bien le jour ou tout a changer, ou ma vie a basculer...
***
J'ai les cheveux d'un noir d'ébène et le visage long avec de petite fossette et des lèvres en forme de cœur. J'ai les yeux vert ce qui était quelque chose de bien particulier chez moi. De taille moyenne et avec des formes minces, j'était plus sportive que la majorité des filles de mon âge. Vélo, natation, course et escalade était de mes activités favorite. Ma vie était aisée dans ces temps-là.

J'était chez moi et comme d'habitude et je m'était lever pour me rendre à mon collège et passer une autre journée avec des profs ennuyeux, les amis usuels et bien sûr les interminables petites questions sur ce que faisait ma mère dans les bases militaires, auxquels bien-sûr je ne pouvais pas répondre. Je ne savais pas ce qu'elle y faisait en réalité. Je croisais mon père qui partait travailler au garages, un rêve qu'il avait finit par accomplir après quelques années seulement. En parti grâce au salaire plutôt élever de ma mère. Ils s'aimaient beaucoup et ce détail ne la dérangeait pas le moins du monde. Il était plutôt baraquer et muscler a force de soulever les lourd outils à son garage, avec une petite moustache et les cheveux dresse sur sa tête, il avait vraiment l'air d'un soldat parfois. Il avait été dans l'armée dans son jeune âge et sa lui était rester.

-Bon matin, me dit mon père en baillant
-Salut! Ça va? Je vais allez au collège et revenir pour dîner, on passera prendre maman quand j'aurais finit mes cours, comme d'habitude.
-Oui, bien sûr, et comment tu t'en tire pour tes examens de fin de trimestre?
-Bien, mais il faut que je remonte mes notes pour le cours de français, cette note va faire baisser ma moyenne sinon, en tout cas, bonne journée et à tantôt!
-Au revoir!

Je sortis de chez moi et pris l'autobus jusqu'au collège espérant croiser par le fait même Jérôme, je l'aimait bien et depuis le début de l'année nous nous étions beaucoup rapprocher. Je pense qu'il m'aimait encore a ce moment là. Il était grand, avait les cheveux noir et long jusqu'au cou. Ces yeux brun lui donnait un air sévère, mais il avait bon caractère et était doux comme un agneaux quand on le connaissait. Je ne le vit que rendue à l'école et j'était un peu en retard, je me rendis donc directement à mon cours en lui faisant un simple signe de tête et un sourire.

Je me souviens d'une journée qui s'était passer rapidement, avec une température caniculaire, et un magnifique soleil d'été. Il m'était venue l'idée d'allez me baigner l'après-midi venu. Rendu à midi, j'avait été voir Jérôme et Alex qui s'entendait bien. J'avais aussi vu Mirabelle et Alicia qui traînait proche de la cafétéria avec eux. Je les rejoignit.

-Salut tout le monde! Chaude journée non?
-Ouais, dit Alex, la météo annonce dans les 30 degré ressentis avec l'humidité, j'espère ne pas fondre à l'intérieur de ces murs! Ces insupportable!
-Tu a raison, l'appuya Alicia, on se croirait dans un four ici!
-Je suis impatiente de rentrer chez moi!, dit Mirabelle, je doit étudier pour les prochains examens et au moins, chez moi, on a de l'air climatiser!
-Chanceuse, mon abri est mon sous-sol pour moi, dit Jérôme de sa voix grave, et on a quand même chaud en bas!
-Je vais allez dîner chez moi si vous voulez venir, proposai-je, on pourra se rafraîchir avec des boissons!
-Très bonne idée! Voilà quelqu'un qui propose des solutions!, blagua Alex, Allons-y je meurt de soif!

Nous nous dirigeâmes tous vers la voiture de Mirabelle, dans le stationnement, et montâmes. Mirabelle avait les yeux brun et les cheveux noirs qu'elle portait long et en tresse toujours. Elle était aussi sportive que moi, c'était d'ailleurs avec elle que j'allais faire de l'escalade avant. Elle démarra et s'engagea dans les petites rues du quartier. Alicia regardait par la fenêtre tranquillement, elle était très belle et il y avait toujours un garçon qui cherchait à la charmer, elle avait les yeux bleue et les cheveux blond qu'elle attachait en une longue tresse au dessus de sa tête. Je regardais au loin moi aussi perdue dans mes pensées et vus la base militaire juste à ôter de la ville. Je me rappelle avoir penser à ma mère et à ce qu'elle devait être en train de faire à ce moment.

-Tiens?, fit remarque Alicia, pourquoi la route est elle barrée?

En effet, la rue à notre droite était entièrement bloquée par des voitures de polices et des fils barbelés. Des militaires étaient présent pour s'assurer que personne ne passent. C'était étrange pour le moins que l'on puisse dire.

-Je me demande pourquoi ils font sa? Est ce qu'il y a un accident sur la route?
-Visiblement non, mais sa doit être quelque chose d'assez grave. Regarde!Les autres rues vers la droite son bloquées aussi!, dit Alex.

Les rues étaient toutes bloquées de la même façon que la première, nous commencions à nous inquiéter. Certaines des personnes vivant du côtés des rues fermer s'entretenait avec véhémence avec les policiers et les milliaires pour qu'ils les laissent rentrer chez eux. Ils étaient beaucoup sur les trottoirs et certains montraient ouvertement leurs mécontentement en faisant des doigts d'honneur aux forces de l'ordre.

-Pauvres gens, commença Jérôme, ils devraient au moins pouvoir prendre leurs affaires pour pouvoir allez ailleurs, j'espère que ces soldats on de bonnes raisons d'agir ainsi.
-Je pense que oui, lui répondit Alicia, ils sont quand même du gouvernement et ils n'interviennent qu'en cas d'importance majeur.
-Liliane, tu pense que cela a rapport avec les laboratoires de ta mère?, me demanda Alex
-Je n'en ai aucune idée. J'espère que non!

Je remarquais de la fumer venant de l'autre coter des rues fermées, là où était la base militaire. Nous continuâmes notre chemin et arrivâmes chez moi. La porte était déjà ouverte ce qui n'était pas un bon signe. Papa n'oubliait jamais de fermer et de barrer notre entrée. Je descendis de la voiture et entrait. Je fut surprise de voir ma mère qui prenais toute nos affaires les plus importantes, argents, cartes d'identité, documents, objets personnels et vêtement en les enfouissant tous dans des valises placés autour d'elle. Elle donnait l'impression de n'avoir pas dormis pendant des jours avec ses yeux rougis et son air presser et angoisser. Je me demandait ce qu'elle faisait ici si tôt elle arrivait d'habitude vers 16 heures, il n'était que midi.

-Allo? Maman? Qu'est-ce qui ce passe?, lui demandai-je un peu nerveuse.

Elle se retourna brusquement et me pris les avants-bras, en parlant extrêmement vite:
-Liliane quelque chose est arriver au laboratoire ou je travaille! Nous avons été trop loin! Trop loin! Maintenant ils sont là! Ils faut que l'on fuit! J'ai déjà appeler ton père, il s'en vient avec le camion, amène t'es amis aussi, nous passerons chez eux prendre quelques unes de leurs affaires et nous partirons après cela, jusqu'au Canada pour le moins, le plus loin possible d'ici! Prend t'es affaires nous partons dès maintenant. Je n'aurai pas dû accepter de faire ce travail tout est de ma faute. Oh mon Dieu... Je suis désoler... Tout est de notre faute. Allons-nous en! Il ne reste plus beaucoup de temps.

Soudainement une explosion retentit loin derrière nous. Une des bases militaire dans laquelle maman travaillait. Nous pouvions sentir la force de l'explosion jusqu'ici et pourtant elle devait être à au moins 6 km. Tous, nous étions nerveux. Que se passait-il? Les questions se multipliait dans ma tête. Pourquoi devions nous partir? Qu'est ce qui était ici? Je voulais plus de détails sur la situation et ma mère ne semblait pas prête à en parler. Elle avait un air paniquée que je ne lui connaissait pas.

-Maman! Qu'est ce qui se passe exactement?

Elle parut étonner de ma question. Comme si elle n'avait aucun sens et pris du temps pour me répondre.

-Les spectres sont là, me répondit-elle avec un calme inattendue, nous devons les fuir, ils n'apportent que la mort! Spectres, ces comme sa qu'ils s'appellent, nous mourrons tous si nous restons ici!

Spectres, j'avais déjà entendu ce mot quelque part, il avait longtemps et je ne m'en rappelais pas exactement, seulement un vague souvenir, j'aurai du comprendre l'urgence de la situation à ce moment-là...

SpectreOù les histoires vivent. Découvrez maintenant