Fuite et panique

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Nous ne savions pas quoi faire. Nous restâmes tous sans réaction pendant un moment, qui parut durer une éternité. Jérôme fut le premier à réagir.

-Ok, commença-t-il, Mirabelle, prend tes clés on se rend chez toi, chez Alex, ensuite chez moi, et finalement chez Alicia. On retrouve Liliane a la sortie de la ville au bord de la forêt. Liliane prend tes affaires et reste avec ta mère, attendez ton père et venez nous rejoindre après sa, à la sortie de la ville proche de la forêt, d'accord?
-Ces bon, ai-je répondu, et ensuite on te suit maman c'es toi qui sait où l'on doit aller.
-D'accord, dit celle-ci, on se rejoint dans deux heures comme sa nous saurons si quelque chose vous est arriver!
-Ces d'accord, allons-y, a tantôt!

Je restais avec ma mère en regardant les autres partir, j'avais cette impression étrange qui me disait que quelque chose de terrible allait arriver. Bien sûr il y avait ces spectres, j'avais de la difficultés à croire ma mère sur le danger qu'ils représentaient. Après avoir réunis nos affaires, mon père arriva peu après. Il était bien temps de partir, on entendait maintenant des hurlements et des coups de feu à l'extérieur.

-Ça va tout le monde?, demanda mon père un air de panique au visage.
-Oui nous étions prêtes justement, répondit ma mère, allons nous en!
-Nous devons rejoindre mes amis près de la forêt à la sortie de la ville, rajoutait-je.

Nous entrâmes dans notre camion et prîmes la route vers l'extérieur de la ville. Moins d'une demie-heure depuis l'explosion de la base, les choses avaient beaucoup changer a l'extérieur.

La ville était en feu à présent, des gens fuyaient dans les rues alors que les policiers essayaient de contrôler la panique général. Ils n'y arrivaient évidemment pas. Plusieurs personnes nous bloquaient le passages nous suppliant de les prendre avec eux.

Qu'est ce qui engendrait une aussi grande panique? J'eu vite ma réponse. Des formes rapides et sinueuses traversaient le ciel. Je les prit au départ pour des nuages, mais il changèrent de direction, comme si elles avaient leurs propre volontés. Elles descendirent du ciel en s'abattant sur les gens dans la rues. J'entendis des hurlement de douleurs et de terreur au moment où elle les touchaient. Les gens toucher par ces choses se tordait de douleurs au sol, avec un nuage obscur autour d'eux qui s'intensifiait. On ne pu plus les voire après un moment et quand la brume disparus, ils étaient tout autre...

Ils ne restaient d'eux que des cadavres sanglant et démembrer. Je restait terrifier, choquer, incapable de concevoir qu'une tel chose soit possible. Les soldats et policiers essayaient de tirer sur ces être horrible, mais cela ne les affectaient visiblement pas. Elles flottaient au dessus de leurs victimes et, leur attention attirer par les coups de feu, foncèrent sur les soldats. Ils en firent la même chose que les précédentes personnes.

-Eh merde! Qu'est ce que ces que sa?, s'écria mon père.
-Les spectres! Roule plus vite! Ils faut les semer on ne peut rien faire contre eux!

Nous continuâmes la route en esquivant les voitures accidentés, les gens affolés et en essayant désespérément de semer ces choses horribles. Nous passâmes en trombe dans les boulevards jusqu'aux petites rues quittant la ville. Pas question de prendre les autoroutes! Elles seraient sans doute déjà encombrer par des centaines de voitures.

Soudainement à notre droite un homme se fit mettre en charpie, le sang éclaboussant le par-brise de la voiture. Je me mît à hurler, trop horrifier par ce que je venais de voir. Nous évitâmes une voiture de justesse et nous sortîmes finalement des zones habiter nous engageant dans la forêt. Je regardait derrière nous et vis les maisons brûler et des gens appelant à l'aide. Je vis au passages un cadavre sanglant, dont on pouvait distinguer les os à travers la pile de chair.

Je ne me rappelle plus beaucoup des événements après cela, la vue des cadavres m'avait plonger dans un état second, perdu, incapable de réagir. J'ai de vague souvenirs de la route et de mon père sacrant contre les gens qui lui bloquaient le passages, de ma mère qui hurlait paniquée. Je m'évanouie finalement après quelque instant. Un des moments les plus terrifiant de ma vie venait de se passer. D'autres viendraient bientôt jusqu'à ce que je ne ressente même plus la terreur qu'ils m'avaient provoquer la première fois...

SpectreOù les histoires vivent. Découvrez maintenant