la brise chaude et humide, presque lourde entre tous les oliviers, et puis tes orbes à damner les chants des cigales et les rires des enfants. elles m'ont happée et j'ai su, ta peau nue effacée derrière les quelques vagues qui séparaient nos lèvres, que je succomberais avant que les dernières pluies du mois d'août ne tombent.