J'ai écrit cette nouvelle pour que les gens prennent conscience que souvent le bonheur est juste là, à portée de bras. Que n'importe qui peut en avoir, de cette joie. Même un SDF qui joue du violon pour survivre. La dernière phrase; « Au revoir monsieur le violoniste », a un sens. Je voulais montrer que souvent il a plusieurs choses qui vont désigner une personne. Un SDF n'est pas qu'un SDF. Un SDF est un humain, un SDF est quelqu'un comme toi, comme elle, comme nous. On a tous notre petite quelque chose. Son SDF joue du violon, mon voisin fait de l'opéra, ma cousine a les cheveux roses... Est ce que je vais appeler ma cousine Pinky? Non, parce que ma cousine ne se résume pas à un de ses traits. Un SDF ne se résume pas à son statut. Chaque personne est spéciale. Chaque personne a son violon.
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