Un vent chaud et apaisant souffle sur les plaines d'une grande savane. L'horizon est pavée d'immenses étendus d'herbes dorées, de collines et de rares petits oasis bordés d'arbres au troncs longs et frêles. Répartis sur le paysage, ils reflétent la lumière du soleils sur leur eau pure. Au bord de l'un de ces petits puits, se distingue la silhouette d'un énorme animal s'abreuvant nonchalamment au bord de l'eau. Ce dernier, d'ailleurs, engloutis à lui seul des quantités d'eau incroyables a chaque fois que sa gueule large, écailleuse et grotesque, plonge dans l'eau. La créature imposante se tient sur quatre énormes pattes griffues et recouvertes d'écailles. Le reste de son corp est lui aussi recouvert de ces même écailles sombres et grossière. En Arrière se balance lentement sur l'herbe brillante la queue géante de l'animal. La bête porte sur son dos une selle en peau, suivis d'une gigantesque hotte remplies d'objet en tout genres, tenant comme miraculeusement a de vieilles cordes. On y distingue des ustensiles servant a monter un petit bivouac, dépassant de la peau de la hotte.
Au côté du paisible monstre de qui l'on pourrait s'amuser a penser qu'il serait capable de faire se tarir le trou d'eau à lui seul, se tient un petit être humanoïde enrobé dans un modeste vêtement de peau sale. Ce dernier tapote amicalement les écailles de l'animal d'une de ses mains, ecailleuse elles aussi. A vrai dire, tout sont corp est, lui aussi enveloppé d'une couche d'inombrables petites écailles, luisantes d'un vert pomme éclatant à la lumière du soleil . Son museau, bien plus humble et éxpressif que sa monture laisse entrevoir un léger sourire, ainsi que deux grands yeux couleur noisette fendues en leur centre par de grandes pupilles en amande. Son crâne, quant à lui, est parsemé de fines plumes aux couleurs pétantes dans des tons rouges et orangés, emmêlés comme des cheveux, et le bas de son visage présente deux petites narines et une large bouche. A son cou pend une étrange amulette tribale: suspendue par une simple cordelette de tissue, le bijoux brille d'une manière peu naturel et en accueille en son sein, une pierre semblable a une pierre précieuse scintillante et reflétant des formes et des ombres mystèrieuse à l'allure mystique.
Après un petit moment, la monture relève sa tête vers son maître et se détourne du bord de l'eau, finalement rassasié. Le petit vagabond tend alors ses bras pour puiser un peu d'eau au creux de ses main et s'empresse de la boire. Il attrape ensuite une lanière qui pendait le long du baudrier de l'animal et commença à s'éloigner de l'oasis. Il se met alors en marche dans la savane, sous les rayons de soleil de plus en plus étouffants de chaleurs, à travers des plaines paisibles et rayonnantes. Le sol tremble légèrement a chaque pas du géant. Ils marchent ainsi sans s'arrêter pendant plusieurs minutes d'un pas emplis d'éfforts. Soudain, sur une colline, le petit vagabond aperçois un convois, mené visiblement par des congénères. Cette dernière est constitué de plusieurs des même créature que celui qui accompagne le vagabond. Les propriétaires en revanche, se distingue beaucoup de par leur tailles légèrement plus grande, mais également leur vêtements: propres, bien tissés, aux couleurs vives et brodés, et de leurs ensemble de bijoux bien plus raffinés que ce qui sert de médaillon à notre ami, bien que ces derniers n'émettent guère la même étrange lumière. Leur plumage est lui aussi mieux entretenu, les plumes de leurs têtes sont plus longues et soilleuses. Par ailleurs, ces plumes ont la particularité peu commune d'être assez souples et épaisses pour être tressées, coiffé... et parfois s'emmeler. Leur cargaison est essentiellement constitué d'instruments en bois, de musique pour certains, cérémoniaux pour d'autres, ou même simplement des ustensiles de cuisines. Ils possède aussi le matériel et les provisions nécessaires a de longs voyages. La caravane et notre jeune protagoniste ont l'air toutefois de suivre la même direction. Le héros de fortune les entend rire et chanter au loin, se rejouissant sûrement de la fin de leur voyage. Le petit être était lui aussi impatient d'arriver à bon port, on lui avait tant parler de cet endroit magique, que l'on nommait le sommêt du monde. Les deux caravanes continuèrent leurs routes, rythmé par les pas lourd des imposante montures, ce presque à l'unisson. Bientôt, de plus en plus de groupes et de caravanes rejoignirent ce qui se transformait alors de plus en plus à un immense rassemblement, ou peut-être un troupeau. On aperçue bientôt des convoits de toutes sortes et de tout horizons. Certains transportent des outils, des plus petits et insignifiant au grande armes de bataille en passant par du bric à brac dont l'utilité serait difficile a deviner, d'autres marchandises se composent de tapis et bijoux de toutes les couleurs. D'autres encores n'on l'air de transporter que des herbes à usage religieux ou médicales. Les individus sont eux aussi de plus en plus diverses: certains ont de grands yeux, d'autre de tout petits, et même ceux de certains indépendants l'un de l'autre. Certains ont une stature musclée et très imposante - même si leur monture restent plus grande encore - et d'autre donnent l'imression de glisser sur le sol, comme si leur corps étaient plus léger qu'une plume. On en voix des très colorés et d'autres maquillés de peintures de guerre et de terres, d'autres encore recouverts d'objet et de vêtement religieux d'un éclat digne des matériaux les plus nobles. Le bruit se fait alors de plus en plus ressentir, les discussions se multiplient, les caravanes se rejoignent parfois et des cris de joix se font entendre partout dans cet masse immense d'écailles, et une ambiance de conivialité s'installe à mesure que les pèlerins rejoignent le cortège géant. Notre héro n'est alors plus que l'équivalent d'un grain de sable, au milieu de la foule.
Puis se dévoile peu à peu à l'horizon, au mileu de la savane sans fin, un gigantesque édifice de pierre, se dressant jusque dans le ciel comme pour surplomber l'infini. Une cité perchée sur un rocher géant. Le petit vagabond regarde avec des yeux émerveillés ce dont on lui avait tant parler: "le lieux ou tout les peuples se réunissent, là où les plus grands vécurent et vivent encore à ce jour, le rocher des dieux!". Il sourit a pleine dent.
Une fois arrivé aux pied de la titanesque construction, chacunes des maintenant millier de caravanes s'arrêtent tour à tour devant un rampart de pierre, et pénètre à l'intérieur de la cité. Lorsque notre jeune ami traversa le rampart et passa de l'autre côté, son souffle se coupa, à la vue d'une gigantesque structure faite de pierre lissée et taillée à même la roche. La structure est en réalité une énorme ville, et est parsemé par des centaines de petite pièces, elles aussi taillées dans le rocher, formant des tunnels, des galeries, et servant des fonctions en tout genres: habitations, forges, cuisines, ou encore temples. Les caravanes ayant pénétrées le sanctuaires se disperserent alors et ce joinirent à la foule. Partout les activités allaient a leur plain, ont marchandait de toute par, des outils et objets venus de toute contrés. Bientôt, le son puissant semblable à celui d'une corde retentit dans toute la cité venant de la plus haute structure. Ils s'agissait d'un immenseautel pyramidale, surplombant le reste de la ville. La population se rassambla alors sur grande place, face à l'autel. Le vagabond les rejoint. Une fois en place droit devant la formidable structure, il leva la tête et vit le sommet du monument.
Le sommet de l'autel accueillait en son sein, tailé dans la pierre, plusieurs trône formant un arc de cercle. Un espace au milieu servait d'auditoire. Sur les côtés deux entrée de tunnels étaient reliés au réseau de pièces de la ville. Le coeur du vagabond bat la chamade, les yeux émerveillés par le spéctacle qui lui est alors donné de voir. Mais ces yeux s'ecarquillent de plus belle d'émotions, lorsque jaillit de l'un des tunnels un être à écaille recouvert de bijoux dorés, coiffé d'une couronne de plumes sur la tête et habillé d'une tunique colorés brodés de multiple symboles. Son coeur se fige une deuxième fois quand le monarche se tendis son bras droit dans sa direction. L'espace d'un instant, le petit être crut l'entendre lui adresser la parole. Il tourna alors la tête pour mieux entendre' et entendit alors:
-LEVE TOI P'TIT CON, AVANT QUE TE DESCENDE MOI-MÊME !
Reyh se réveille alors en sursaut.