Sheitana PNL TERMINE

Chapitre 26

Nabil : j'croyais que tu devais sortir de se bail

moi : je croyais que tu en était sortie déjà

nabil : joue pas a la conne avec moi

moi : écoute sa se fait pas comme sa du jour au lendemain d'arrêter d'accord donc laisse moi mon temps maintenant profite des 2 jours de repos que ta avant que je vous enferme au studio et prévient ton frère sur ceux dégarpis j'ai des choses a faire j'enfile mes baskets et commence a sortir de mon appartement

nabil : tu vas ou

moi : Sevran j'ai des choses a y faire

Il hoche la tête et sort de mon appartement et rentre dans le siens je le suis claque la porte et passe voir l'avancer des travaux

Sa avance bien et le chef des travaux me certifie que sa seras fini dans 2 jours je descend les escalier rapidement j'entends beaucoup de bruit je sort de l'immeuble et regarde squi se passe je voit une fliquette que tout le monde bouscule et benoit qui essaye de la défendre c'est Oriana je cours jusqu'à eux et passe dans la foule

moi : OOOOOOH STOP LA

Tout le monde arrête je regarde oriana et lui sourit avant de la prendre dans mes bras

moi : ça va ma poupette ? elle hoche la tête et se colle a benoit ils sont beaucoup trop mignon c'est deux la. Sa va pas ou quoi laisser la tranquille sans elle je serais pas la arrêter de voir le mal partout c'est notre meilleur allié numéro 1  donc arrêtais et retournais a vos occupations

Tarik : en plus de faire la ouf elle nous ramène les poulets sa ta pas servis la sonpri ?

moi : vas te faire foutre Tarik dis-je en le poussant

Y se rapproche de moi et m'attrape par la nuque

tarik : répète si tes une femme vazi

moi : vas te faire foutre ta pas compris quoi

Il me plaque au mur et colle sont front au mien

tarik : sur Allah Naha parle bien de ta bouche si tu veut pas que je te casse en deux

moi : mais parle sur dieu j'men branle c'est pas mon problème si tu était pas borné, impulsif et a l'écoute des gens tu saurait beaucoup de choses donc lache moi maintenant crachais-je

Je le sens serrer un peu plus sa main sur mon cou et levé sa main je le fixe dans les yeux je ne baisserais pas le regard quand d'un coup sa le tire en arrière et je voit Jarod et Nabil

Tarik : lachez moi la putain

nabil : y se passe quoi la t'aller frapper la merdeuse

moi : déjà de 1 je suis pas une merdeuse et de 2 c'est un trou du cul ton frère il est trop borné ils bousculaient tous Oriana et y m'accuse de ramené les poulets au quartier frère si il était plus a l'écoute on en serait pas la

Nabil : tarik cette meuf la c'est grace a elle que Naha elle est sortie avant elle habite la et elle ma même laisser voir Naha au parloir elle est QLF

Tarik sort des bras de jarod et nabil et part

Je souffle embrasse la joue de Jarod benoit et Oriana avant de monter dans ma Merco et de partir a toute allure

45 minutes plus tard j'arrive a Sevran je fait un peu le tour pour voir si je voit pas Walid ( Maes pour ceux qui ont pas compris ) je le voit pas je gare ma voiture aux centre du quartier et descend de ma voiture je regarde autour de moi et reconnais un ami a Walid qui s'appelle Youness ( benab ) lui il avait jamais était dans mes gars mais j'le connaissait un peu je commence a avancé vers lui

Un gars m'attrape le bras je le regarde

moi : tu me veut quoi ?

lui : t'es qui tes pas de la qu'est ce que tu veut ?

moi : tu pause trop de question lâche moi j'vient voir Youness j'avais dit son nom un peu plus fort histoire qui m'entende et c'est réussi puisqu'il s'approche

Youness : Lâche la Idriss

Le fameux Idriss me lâche et part rejoindre le groupe de pote a Youness

Youness : qu'est ce que je peut faire pour toi Naha si t'es la c'est pas pour rien je sais qui tu es

moi : oue ta raison je vient voir Walid j'ai besoin d'un truc

Youness : vazy vient avec nous y va arrivé dans pas longtemps

Il pose son bras sur mes épaules et on parler on se pose avec ses potes j'parle qu'à Youness jusqu'à que le fameux Idriss de tout a l'heure me reparle

Idriss : du coup tu fait quoi la miss ici ? me demande t-il avec un sourire dragueur

moi : range ton sourire mon pote dis-je toujours impassible sans sourire

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