poème nocturne

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Aimer de tout son coeur

Aimer de tout son coeur
On dirait une bien jolie oeuvre
Un cadeau offert, comme des fleurs
Ou bien plutôt un livre

Car avec lui c'est une histoire
Emplie de défaite et de gloire
Que je delivre à chaque fois
Totalement, à ceux que l'on pense en émoi

Cependant dans mon cas
A chaque fois, sans condition
Mon coeur fût trahis, belle exécution
Ironique n'est-ce pas

Ce destin je ne le comprends point
Malgré mes efforts, ma dévotion
Ainsi que mes espoirs, mais toujours la même fin
De mon coeur, on ne prend nullement soin

Est-ce parce que de l'amour, je ne sais rien?
L'affection, la tendresse sont des inconnues
De belle dame dont j'espère la venue
J'ai dû me les inventer, en ai-je tracé un mauvais dessin?

Ou bien parce que j'espère un retour
Que mon offre un semblable amour
Une attention partagé, espéré
Trop d'attente infondée

Mes croyance tentent à tendre
Vers l'idée de plus en plus imposante
Que de cette idylle que je chante
Je ne mérite pas de l'entendre

Pourtant je tâte le terrain
J'essaye d'apprendre des erreurs précédente
Être discret, présent, à l'ecoute, en attente
Mais on prend tout et ne reste rien à la fin

Mon coeur est laissé à terre
Épuiser et en miette
Et poussé cette même chansonnette
Encore et encore, dans ma vie se repète

L'ami, l'amour, l'amant
C'est trois A que l'on ne m'a jamais accordé
C'est beau mot que j'ai donné, non porté
Des phrases que je ne peux formuler

Mes plaintes je n'ose souvent les montrer
Je tâtonne, demandant habilement
Par des moyens détourner ou franchement
De pouvoir les abordées

Mais toujours on les évite
Souvent on les ignore, on leurre
Là où moi, je demande, j'écoute
Suis-je trop ennuyant pour cette honneur?

Où y a-t-il un moment?
Idéal pour mes questions?
Je ne crois pas en cette façon
Quand on aime quelqu'un, on est présent

J'en conclus donc que je n'ai eu cette chance
Mais au file des ans, mon coeur se terni
Perdu la belle couleur rouge vie
Ne vaut mieu-t-il pas, au plutôt, qu'elle soit fini?

Qui peut vivre sans etre libre?
En ayant les mots lié, pris en otage
Terrifié d'être laisse dans son novrage
Etre le souvenir d'un ivre

Vais-je pouvoir continuer à rêver ?
Garder la tête or de l'eau
Ou se laisser couler dans les flots chaud
Sert-il vraiment de lutter?

Tant de question auquel jamais personne ne répond
L'ignorance cruel s'attache à moi tout du long
De ma vie, que je garde pour moi
A jamais puisque mon silence doit être roi

Mon Petit JounalWhere stories live. Discover now