「 ꜱᴇᴠᴇɴ ᴅᴀʏꜱ 」

Freiheit - Épilogue

[12/04/2020]

Bonsoir bonsoir !

Enfin j'arrive à poster cet ultime chapitre... tout allait bien jusqu'à ce que je m'apprête à tout sélectionner pour faire le fichier HTML pour poster sur Fanfic... et que j'aie un soudain doute de conjugaison. Je me suis pris la tête dessus en solo pendant une heure avant de péter un câble et de demander de l'aide à une amie, qui s'est pris la tête avec moi pendant 30 minutes avant de demander à une amie, qui finalement a demandé à une autre amie... pour que j'aie finalement ma réponse. Mais au moment d'enregistrer le fichier HTML, j'ai encore eu un doute...

Au final j'en ai ras-le-bol donc je le poste tel quel, si l'accord de la dernière phrase vous semble faux, dîtes-le-moi qu'on débatte dessus et que je corrige si nécessaire XD

Je voulais faire une petite note de fin au départ mais finalement je ne le ferai pas, ça serait gâcher la fin de l'update. Si vous voulez connaître mon ressenti sur cette histoire, des anecdotes etc., je serai ravie d'en discuter avec vous en commentaire ^^

J'espère que cette dernière journée vous plaira en tout cas. 

Bonne Léocture ! ♥

~~+~~

Hoseok se réveilla d'un coup en sursaut. La peau moite, la respiration courte, son cœur battait tellement vite qu'il avait l'impression qu'il était au bord du malaise cardiaque. Il avait des sueurs froides et, ses oreilles chauffant désagréablement et l'intérieur de son crâne crépitant comme un diamant à la lumière du jour, il pivota pour se lever mais tomba au sol, ses jambes ne pouvant le soutenir. Il se redressa difficilement sur ses bras et il porta sa main droite à sa poitrine, enfonçant ses ongles dans sa peau pour saisir son cœur et l'arracher pour qu'il arrête de le faire souffrir à ce point.

« Hoseok ? »

Il laissa tomber son crâne contre son poing gauche, serré contre le sol, et la jeune femme se jeta à ses côtés.

« Hoseok ? Tout va bien ? Jinki ! commença-t-elle à paniquer. Hojung ! Aidez-moi ! »

Hoseok s'écroula sur le sol et attrapa son poignet tremblant avant qu'elle ne prononce le nom de sa mère. Il ne fallait pas qu'elle l'appelle. Elle ne devait rien dire.

« Hoseok ! s'exclama-t-elle, ses mains tremblantes parcourant le torse de son compagnon. Qu'est-ce qu'il se passe ? Tu m'entends ? »

Il hocha faiblement la tête et rouvrit difficilement les yeux sur elle.

« J'ai... juste fait un cauchemar... souffla-t-il. Ça va. N'alerte pas tout le monde.

– Tu es sûr ? Tu es blanc comme un linge, tu-

– Ça va, lui assura-t-il en portant de nouveau sa main droite à son cœur qui ne voulait pas arrêter de battre. J'ai soif...

– Je vais te chercher de l'eau. Mais redresse-toi d'abord...

– Aide-moi... »

Elle l'aida à se relever et l'assit sur le lit.

« Ne bouge pas, souffla-t-elle, je fais vite. »