C'était inévitable.
Il fallait bien que ça arrive un jour.
Je trouve enfin le temps,
Et probablement le bon moment,
Afin de m'asseoir et d'observer,
L'œuvre passé.
Afin d'entrevoir celle à venir,
Avant de dépérir.
Ah.
Bon et bien merci les clouds et compagnies,
Pour vos sections "memories" ,
Qui me rappellent que la vie,
Parfois me sourit.
Tout n'est pas si sombre,
Enfin je crois.
Mais je me demande sans cesse,
Pourquoi je prends la fuite ?
Pour des futilités,
Insupportable,
Assommante,
Difficile
Comment les acceptés?
Fondées sur le mensonge,
Fruit d'un mal non traité,
Lui-même soldé par la fuite,
Et je suis en plein milieu de ce carrefour.
Je ne sais quel chemin emprunté,
Même Papa Iegba ne peut me guider.
Pourtant il est là, au dessus de moi et contemple le carrefour qui se dresse face à moi.
Je m'assoie et observe.
Il m'observe pendant que je réfléchis.
Il intercède entre ici et la haut.
Moi en 3D, lui dans la cinquième.
Je pense qu'il s'impatiente et moi je fuis. Je me contente d'une pâle copie de moi-même, d'une contrefaçon bas de gamme de ma personnalité.
La réelle est elle morte ou en pleine construction ?
Je ne saurais qu'en les étudiants, l'une après l'autre, chacune à leur tour.
Tantôt mignonne et sensible, tantôt froide et impassible.
Je suis déconcertante et déconcertée.
Le vieux rigole.
Je n'ai toujours pas choisi et tourne en rond.
Il s'énerve. Des plongeoir en direction du vide se dressent devant moi, je les vois, et les évite de justesse.
Je trouve ma voie, mais je crains de m'être trompé, malgré tout je m'y engage.
Le vieux sourit : "Ce n'était que le premier carrefour."
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Oeuvre à part entière
De Todo"Recueil" de certains de mes écrits achevés ou non, de différents style. Chaque partie est indépendante des autres il n'est donc pas nécessaire de tout lire en entier. C'est en quelques sorte un "fourre tout" en attendant d'autres oeuvres plus compl...
