Après que Chris soit comporté en un parfait gentleman, Ornelly n’a pas hésité une seconde avant de dire oui à sa proposition de l'accompagner chez lui pour y passer le reste de la soirée. Elle sortit de son sac son téléphone et appela directement sur le fixe de la maison. Son fils Luc décrocha.
- Mon chéri, je ne pense pas rentrer ce soir. Chris m’a invité à passer le reste de la soirée chez lui. Tu peux bien veiller sur ta sœur en mon absence ? Je rentrerai demain matin.
- Okay d’accord, il n’y a pas de soucis. Elle s’est déjà endormie. Tu mérites de te relaxer un peu alors profites bien de la soirée mère. Je t’aime
- Je t’aime aussi fils.
Elle, après avoir raccroché s'accrocha à son bras jusqu’au parking où était garé le magnifique bolide qu’il avait loué. Il avait également loué un appartement chic pour l’occasion doté d'un grand salon bien meublé et décoré avec un balcon sur lequel débouchait la superbe vue de la ville. Elle s’installa confortablement en regardant la téloche implantée dans le mur pendant qu’il rentrait se rincer dans la salle de bain. Il n’arrêtait de penser à elle quand bien même qu’elle n'était à quelques mètres Son sourire serait ce qui restera gravée dans sa mémoire lorsqu’il se ferait le plaisir de finir avec elle. Mais il était tôt pour y penser parce qu’il n’avait pas encore profité d'elle.
L’attente dans le divan était trop longe pour elle ; pour cela elle le rejoignit et sauta à son cou, les jambes entrelacées autour de sa hanche. Il, tenant ses deux cuisses enfourcha sa langue dans sa bouche, sortit de la salle de bain en se dirigeant vers le divan qui était juste à quelques mètres. Elle répondit à son baiser avec une certaine délicatesse et douceur tout en plongeant ses deux mains dans ses cheveux. Il glissa ses deux mains sous sa jolie robe et tripota ses popotins ; la serrant très dort contre lui pendant qu’elle l’embrassait plus profondément. Elle gazouillait sans cesse et il changea de trajectoire et la plaqua au mur. Il lui caressa la surface de réparation sans lui enlever son slip. Elle gémissait de plaisir et tournait ses hanches telle une virole d’un ventilateur classique avant de le pousser avec une certaine fougue sur le divan. Enlevant vite sa robe et son slip, elle le rejoignit. Allongée sur le dos, il se saisit de ses mamelles et les suça avec le bout de ses incisives avant de prendre position sur sa poitrine et poser entre le creux de ses seins sa machine à défoncer. Il les caressait tellement fort tout en les serrant contre sa machine qu’elle ne se rendit pas compte des cris qu’elle émettait. Cela prit quelques minutes avant qu’il ne s’arrêta. Il la fit lever et lui demanda de tenir avec ses deux mains le canapé et en se mettent en position levrette. Elle obéissait comme un chien obéît à son maître. Lui tapotant sur les fesses, il se saisit de son clitoris, le caressa quelques minutes avant de s'introduire en elle. Les va et vient s’accentuaient suivis des hurlements de plaisirs des deux côtés. Il lui donnait sans cesse des petits coups avec la paume de sa main droite au dos et sur les épaules. Elle se sentait aux anges parce que cela fait longtemps qu’elle n’avait plus eu de pareilles jouissances sexuelles.
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C’était une des meilleures soirées de sa vie après la mort de son mari ; soirée qu'elle n'oubliera jamais. Durant toute la semaine qui a suivi, elle n’avait fait que penser à cela et du coup les enchaînements s'étaient multipliés mais cette fois ci à la sadomasochiste.
La vieille cabane était à cinquante kilomètres de la ville en pleine forêt et c’était pour lui l’environnement parfait pour commettre ses meurtres. Un calme y régnait vu que plus personne n'habitait dans les parages. Autrefois, c’était un camp où les chasseurs venaient se reposer mais depuis que le gouvernement a interdit les chasses, c'était desert. Avec son Pick up garé sur le côté, il apprêta les outils qui lui serviront à la mise en pièce de sa nouvelle conquête. Ce qui est sûr, ça se fera dans la semaine car toutes les grandes étapes sont déjà franchies. Il n'était plus maintenant question de patienter.
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Le psycho-sociopathe violeur
TerrorGrand et corpulent, il séduit et chavire le cœur de sa cible avec son charisme, profite une ou deux fois de son corps avant de s'en débarrasser complètement mais les choses ne se sont pas passées de la même manière avec Ornelly ; une jeune veuve ave...