Maelstrom sans fond

Titre : Maelstrom sans fond

Auteure : Elfelmira

Résumé : Après avoir atteint leur rêve, Zoro et Luffy se retrouvèrent maudits. Une fois mort, ils revivaient leur vie. Encore et encore. A chaque fois, ils changeaient de 'métier'. Après avoir été pirate et après un passage à pôle emploi, ils devinrent marines, révolutionnaires etc. Au bout de leur énième retour, et surtout comme ils se faisaient mais vraiment chier, ils décidèrent d'emmerder le monde au max. Et que choisi Luffy pour montrer son amour au monde ? De devenir musicien. Et de détruire le monde en cassant les oreilles. Zoro préféra se reconvertir dans le dessin et de publier ses brillantes BD. Avait-il besoin de préciser qu'ils sauvent Ace et Barbe Blanche comme s'ils allaient au marché ? OS/slash Zolu

Genre : Alors cela sera une crackfic, il y aura quelques moments sérieux mais ça sera essentiellement de l'humour et de la badassitude ! Rien que pour rire et mettre du bonheur ! Précision : c'est une OS ! Donc il n'y aura qu'un seul chapitre ! Je dis ça parce que des fois des gens me demandent à quand la suite alors que c'est une OS...donc je préfère prévenir encore plus.

Couple : Zoro/Luffy (un Zolu en gros ^^) un de mes ships OP préféré (avec Katakuri/Luffy, Vivi/Nami et Sabo/Koala)

Attention : Ceci est une fanfiction contenant un slash/yaoi. Donc les gens qui n'aiment pas, cassez-vous ! One Piece et ses personnages ne m'appartiennent pas (hormis les OC s'il y en a) et sont la propriété d'Eichiro Oda (par contre, l'histoire est à MOI, mon précieuuux!).

Il y a des risques de spoils, genre vraiment vraiment, au moins jusqu'à Wano (sûrement quelques références mais sait-on jamais). Bon logiquement si vous venez lire des fanfics One Piece, vous lisez ou voyez OP, donc je sais pas si c'est vraiment spoiler...

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Maelstrom sans fond

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Dans un bar paumé et peu intéressant au milieu d'une des innombrables îles d'East Blue, une atmosphère joyeuse s'en dégageait. Ce petit bar dans ce petit village dans cette petite île accueillait actuellement une petite foule d'habitants enthousiastes. Pour la première fois depuis vraiment mais vraiment longtemps, ils avaient un visiteur ! C'était un événement à célébrer ! (Leur île était si inintéressante, perdue que la Marine et même les pirates s'en foutaient...)

Le dit visiteur était simplement installé à une table près de l'entrée. Le barman, un vieux bonhomme barbu frétillant de joie de vivre (tellement qu'il avait une aura fleurie autour de lui) plaçait avec professionnalisme des plats devant l'étrange étranger. Ces petits plats partaient dans le gosier de l'inconnu à une telle vitesse qu'on pouvait se demander si cet adolescent n'allait pas s'étouffer.

L'étrange étranger portait bien son surnom attitré. Ces cheveux noirs et cours entouraient sauvagement son visage rond et fin. Cependant, il avait accroché à certaines de ses mèches des perles colorés lui donnant un air de...hippie ? Ses grands yeux noirs, ronds remplis d'une lueur innocente voire candide brillaient littéralement devant l'abondance de nourriture. Il agrippa un pauvre et innocent morceau de viande qui n'avait absolument rien demandé et l'engouffra dans sa bouche en lançant un « c'est vachement trop bon ! ». Son immense sourire, nullement géné par sa cicatrice sous son œil gauche, semblait comparable à un soleil, à tel point que certains villageois arboraient maintenant de jolies lunettes de soleil sur le nez.

L'adolescent de petite taille fut pris d'un fou rire et leva son pouce en l'air complimentant excessivement le vieux barman. Dans son excentricité, il se leva, renversant presque la table, et les natifs purent admirer son style vestimentaire qui...respirait l'usage de la drogue...Soit le garçon était un drogué paumé en pleine crise d'adolescence, si paumé qu'il s'était retrouvé sur une île paumée, soit il manquait cruellement de style. Il portait un t-shirt bleu ciel avec écrit en diagonale dans des lettres bleus foncés « Je suis une licorne » avec des dites licornes blanches ornant le reste du t-shirt. Par dessus, il portait un gilet rouge vif uni (ne cherchez pas longtemps, l'ensemble bleu/rouge était immonde!). Enfin, il portait un pantalon noir large retombant avec nonchalance sur ses sandales retenu par un long tissu jaune fushia. Pour compléter le tout, un vieux chapeau de paille fatigué se reposait sur sa tête et une guitare étrangement très neuve était accrochée dans son dos.