Les ancestraux

Enlèvement

Suite à cet incident je décidai de rentrer à la maison et faire comme si il ne s'était rien passé. Seulement sur le chemin du retour je reçue un coup sur la tête et sombra dans le néant.
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Lorsque je revins à moi je découvris que je me trouvais dans un endroit inconnu avec pour seul meuble une table et deux chaises dont l'une sur lesquelles j'étais assise.
Puis la porte s'ouvrît et un homme entra dans la pièce. Il était grand, musclé, blond aux yeux bleus mais avec un regard tellement sombre qu'un frisson me parcourue dans tous le corps. Mais le plus intriguant était le tatouage qu'il possédait au creux du coup. Il représentait le signe astrologique associé au Lion mais était entourée de flamme. Je voulu prendre la parole mais il me devança.
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« - Eh bien, eh bien. Mais qui avons nous la. Dit-il sur un ton sarcastique
- Qui êtes vous et où suis je . Répondis je totalement paniqué
- Il me regarda d'un sourire narquois puis répondit : Au QG des ancestraux de Paris évidemment.
- Le QG des quoi ??
- Génial non seulement elle n'a aucune idée de ce qu'elle est mais en plus elle ne sait rien à propos de nous. Dit-il plus pour lui même que pour moi.
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Et c'est là qu'il m'expliqua que chaque capitale possédait un QG où vivaient ceux qu'on appelle les ancestraux. Ils sont divisé selon leur signe astrologique et les éléments. Il y a donc la catégorie du feu ou l'on retrouve les Béliers, les Lions et les Sagittaires. Puis la terre avec les Taureaux, les Vierges et les Capricornes. Ensuite l'air avec les Gémeaux, les Balances et les Verseaux. Et pour finir l'eau avec les Cancers, Les Scorpions et les Poissons. Puis, il m'apprit que le but des ancestraux était de s'occuper de l'équilibre de la Terre grâce aux pouvoirs qu'ils possèdent en fonction de leur signe astrologique.
Une fois son explication termine je le regardai interloquée puis parti dans un fou rire avant de dire :
« Mais oui bien sûr, les ancestraux tout ça tout ça. Bon c'était bien drôle votre blague mais maintenant je voudrai la vérité »
Il me regarda puis poussa un long soupir d'exaspération avant de répondre :
«  Super on était déjà dans la merde jusqu'au cou, mais là c'est le pompon ! »