Le jour de votre mort

~Piège?~

PDV(T/p)

En chemin vers le bureau du major, alors que je me fessais trimballée, confortablement installé dans ma chaise par le grincheux, je vis deux soldats au loin.Arrivé à notre hauteur ils me dévisagèrent un instant avant de regarder derrière moi et à cette instant, pour une raison qui mets inconnu ils semblaient pétrifiés et alors que j'allais ouvrir la bouche pour gentiment leurs demander de dégager le passage parce qu'il commençait à me casser les couilles ils se mirent sur le côté et firent le salut militaire.

Moi: Mais qu'est-ce que-

Soldats: Bonjour mon caporal!

Moi: Hein?

Je tourna la tête et mes yeux se plongèrent dans ceux du gamin.Il avait toujours la même expression.Il ne dit, cependant, absolument rien et continua son chemin.

Arrivé à la porte du Major il ne pris pas la peine de toquer, il donna simplement un grand coup de pied dedans pour ne pas devoir lâcher ma chaise et rentra par la suite.

Erwin: Levi, combien de fois je t'es déjà dit de toquer avant d'entrer?

Le grincheux: Et combien de fois je t'es déjà dit que j'en avais rien à branler Erwin?

Erwin lui lança un regard exaspéré avant de prendre la parole.

Erwin: Bien maintenant que nous sommes tous réunis, passons au chose sérieuse.

Ils prirent tous place autour de la table, sauf le gamin qui se posa debout dos au mur, dans un coin de la pièce.

Erwin:(T/n),pourrais tu nous expliquer ce qui c'est passé?

Moi:.....

Erwin: Je sais que tu dois encore être sous le choc, mais nous devons savoir ce qui c'est passé. Pourquoi êtes vous revenus?

À cette instant je le fixais, incrédule. Comment ça pourquoi? C'est lui qui nous avait demandé de rentrer et il a le culot de demander pourquoi??

Moi: Qu'est-ce tu veux dire Erwin? C'est toi qui nous à envoyer cette lettre à la con en nous demandent de rentrer pour vous aider!

La colère s'empara de moi, à cette instant je voyais rouge,mais quand mon regard rempli de rage se planta dans le siens je compris alors.

Moi: Tu n'a jamais envoyé cette lettre.

Erwin: Non en effet. Je n'aurais jamais pris ce risque. Je savais que vous ne seriez jamais arrivé attends.La chute du mur Maria n'a-

« C'est de ma faute, c'est de ma faute, c'est de ma faute, je l'es es tué, j'ai leur sang sur les mains » je n'arrivais plus à penser, à entendre,  « J'aurais du m'en douter, j'aurais du le savoir, c'est de ma faute c'est de ma faute, c'est de ma faute » ma tête me fessais mal, j'avais l'impression qu'elle allait exploser, «  J'aurais du mourir à leurs place, je ne devrais pas être en vie ». Mon esprit divaguait dans les souvenirs, les cris, les pleurs, les bruits  «Pardon, pardon,pardon,pardon ».

Et puis d'un coup quelques chose me frappa, littéralement.

Levi: OÏ! Reprend toi merde! On doit trouver qui vous a envoyé cette putain de lettre et pourquoi.

Je repris mes esprits et porta ma main à ma joue, il venait de me gifler? Je le regarda un instant choqué avant de reprendre mes esprits et par la même occasion la parole.

Moi: Nous avions reçus cette lettre par oiseau voyageur, la même sorte d'oiseaux que nous avions entraînés avec mon escouade pour les cas d'urgence. Cette lettre contenais des informations concernant la chute du mur Maria et elle nous demandais de revenir de toutes urgences.

Je releva la tête vers touts les caporaux et le major, l'es regardent droits dans les yeux.

Moi: Je n'es pas voulue revenir et mettre en danger mon escouade.

Je savais parfaitement que m'ont comportement avait été égoïste.

Moi: J'ai fais passer mon escouade avant mon devoirs de soldats et j'en suis parfaitement consciente.

Et alors que je m'attendais à voir du dégoût dans leurs regard, pour avoir voulu prioriser mes soldats à des milliers de personnes, ils ne sourcillèrent même pas.

Moi: Par contre mes soldats eux, n'étaient pas du même avis, après un moment j'ai compris que même si je l'es avais menacée avec une de mes lames ils seraient quand même partie. Alors j'ai céder et nous nous sommes mis en route, ont a galoper aussi vite que nos chevaux nous le permettait et quand nous sommes finalement arrivés, ont est tous restés pétrifiés devant le massacre qu'était devenu le mur Maria.

Je pris une pose me rappelant des expressions d'horreur qu'avaient eu mes confrères, avant de reprendre.

Moi: J'allais mettre en place un plan, mais Katsuki à tout de suite foncé dans le tas dès qu'il a vu la seine.

Un rictus apparu alors sur mon visage.

Moi: Têtu comme il était je savais très bien que je n'avais plus aucune chance de le dissuader, alors j'ai dit aux autres de faire le tour et d'être prudent, puis on s'est séparé.

Et c'est à cette instant que le carnage à commencer.

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J'espère que vous et votre famille vous porter bien désolé pour l'attente j'espère que ça vous aura plus.

Et désolé pour les fautes je n'es pas vraiment relus mon texte, alors voilà petit chapitre de confinement.

Sayonara ☠️👋🏻