Kuroo Tetsuro X Reader {ABANDONNÉ}

Chapitre 7

P.D.V. Reader

Je parlais avec Kuroo, quand Marine nous rejoint toute joyeuse.

Marine : alors ? Votre enquête avance ?

Kuroo : nous avions eu une piste, mais elle s'est avéré fausse.

Moi : et aussi en même temps on essaie de retrouver (n/f).

Marine : je vois, c'est pas la joie !

Moi : en effet.

Marine : et le détective ?

Kuroo : il est au commissariat pour de la paperasse.

Marine : d'accord. Je peux vous aidez peut-être encore ?

Moi : non, je pense que tu as fait assez de chose pour nous.

Elle allé partir mais une voix l'interrompre dans son action.

? : mademoiselle Reding.

On se tourne vers la personne qui se trouve être notre directeur. Il tenait dans ses mains Apophis.

Jason : il me semble que vous connaissez le règlement Reding. Pas de Familier hors des chambres, surtout si vous n'êtes pas ensemble.

Marine : désolé monsieur Watterson...

Jason : je ne vous colle pas seulement car c'est la première fois que vous ne respectez pas le règlement. Faites en sorte la prochaine fois que votre familier ne se promène pas dans des lieux dangereux.

Sur ces mots ils donnent le familier à Marine. Il allait repartir mais je l'interpelle.

Moi : monsieur Watterson !  Est-ce que je peux vous parlez en privé ?

Jason : oui bien sûr, suivez moi.

Je l'accompagne donc sous les regards de Kuroo et Marine qui ne comprenaient pas pourquoi je voulais parler au directeur seul à seul.

On arrive dans son bureau j'allais rentrée mais un loup noir se mit devant moi et se mit à grogner.

Jason : Fenrir calme toi c'est seulement mademoiselle (t/n), elle ne représente pas un grand danger.

Je sais pas comment le prendre...

Au fait, le familier du directeur c'est un loup noir. Comme celui qui a échanger mon familier avec le démon d'après les dire du familier de Kuroo.

Le loup se calme, puis me laisse passé. Il s'installe auprès de son maître. Ce dernier me fait signe de m'asseoir.

Jason : alors, qu'elles sont vos questionnements ?

Moi : j'aimerais savoir... Est-ce que vous étiez au courant de se que votre père a fait ?

Jason : c'est-à-dire ?

Moi : tous les meurtres d'élève qui il y a eu lorsque qu'il était directeur.

Le directeur me regarde avec un regard énigmatique. Il fit un sourire.

Jason : bien sûr que non. Vous croyez vraiment qu'il m'aurait dit ça ? 

Moi : on sait jamais...

Jason : et puis j'étais en internat aux États-Unis quand ça s'est passé. J'ai été au courant de ça qu'à sa mort. Donc depuis quelques années. Vous aviez d'autre question ?

Moi : non... En fait si. Saviez-vous qui as construit cette école ?

Jason : c'est un de mes ancêtres. Pourquoi donc ?