True Heart

Chapitre 1 : the beginning of everything

Narration Draco Malfoy.

Je ne me souviens pas quand tout a commencé. Je sais juste que du jour au lendemain pendant ces vacances, entre ma cinquième et ma sixième année, mère est venue me chercher dans ma chambre. Elle était livide, blanche comme un linge. Et pour la première fois depuis, se qui me semblait être, une éternité, elle m'a pris dans ces bras. Elle me caressait le dos, me chuchotant qu'elle m'aimait, comme une douce promesse qu'on essaye de ne pas oublié. Ça me rappelait ces moments, où quand je n'étais encore qu'un enfant innocent, je courais dans la chambre de mes parents, et me réfugiais dans les bras de ma mère, pensant qu'elle pourrait faire partir les cauchemars. Et c'est se qu'elle essayait de faire. M'éloigner du cauchemar qui allait débuter. Lorsqu'elle c'est éloigné, elle a pris mon visage dans ces mains, et j'ai su dans ces yeux, que quelques choses de grave et de mauvais aller se passer. Elle m'a embrassé le front, caresser la joue, puis d'une voix douce, qu'elle ne réservait qu'à moi elle m'a dit ;

_Mon Draco, tu es tellement grand, a-t-elle commencé d'une voix tremblante, n'oublie jamais que quoi qu'il arrive, je t'aime, et je t'aimerais toujours, et que peut importe se que tu fais, je serais toujours, je dis bien toujours fière de toi.

Je n'est rien répondu, puisque ma très chère tante Bellatrix Lestrange est entrée, disant à ma mère qu'ils étaient près. Je ne savais pas se qui allait se passé, où du moins j'essayais de l'ignorer, alors que ma mère tremblante se tenais à mes côtés me serrant la main pendant que nous nous dirigions vers le grand salon du rez-de-chaussée. Ce jour là restera encré dans ma mémoire à vie. Les sombres pensées qui mon traverser lorsque cette foutue marque a été gravé sur mon bras. La douleur que je ressentais lorsque ma peau devenait marqué à vie. Le regard de fierté que m'a lancé mon père, et la pure peur de ceux de ma mère. Et Severus, mon parrain, qui  se tenait à quelques mètres de mon père, le regardait parfois un regard froid, noir et lourd de sens, puis son regard se posait sur moi, et il me regardait avec une douceur que seul quelques personnes avaient vue.

Suite à cela, j'ai passé tout l'été enfermé dans le manoir. Je passait beaucoup de temp à examiner cette marque et à rejoué tout se que le Seigneur des ténèbres m'avait demandé de faire. Je ne voulais pas le faire, mais je le devais. C'était une fierté et un honneur lorsque le Lord te demandais à toi, alors que tu n'étais qu'un pauvre apprenti, de faire quelques choses. Quelques choses qui pourrait faire régner le mal. Je me suis posé beaucoup de questions, jusqu'à se jour où je me suis retrouvé sur le quais neuf trois quart. Mon père n'avait pas pris la peine de venir. Une affaire urgente avait-il dit. Mais, mère était la. Et son bras protecteur était resté autour de moi, jusqu'à se que je retrouve le confort de la présence de Pansy et Blaise. Je me suis toujours moqué de Pansy, et de sa proximité envers moi, mais elle était en réalité ma meilleure amie. Elle avait toujours été la pour moi, tout comme je l'avais été pour elle. Blaise quand à lui, était un garçon avec un humour bien à lui. Il n'avait pas eu la chance de se faire des amis à son entrée à Poudlard, et Pansy, étant la personne au grand cœur qu'elle est, ne lui dite pas que j'ai dis ça elle risquerait de m'envoyer à Azkaban, avait eu pitié de lui, et l'avait inclus dans notre duo. Et nous sommes devenus, le plus grand et plus effrayant des trios de Serpentard. J'avais tout raconté à Pansy, tout sur ces vacances d'été, catastrophique et désastreuse, donce se fut sans aucune surprise qu'elle me pris dans ces bras a peine ma mère eu retiré le sien.

_Ça va ? Me demanda ma meilleure amie.
_Oui Pans, et toi ? Demandais-je en la serrant doucement, sentant son odeur de vanille.
_Maintenant que je te vois, oui ça va.

Pansy se recula, se tournant vers ma mère, qui en l'absence de mon père, en profita pour serrer la jeune fille dans ces bras.

_Merci de t'inquiéter autant pour Draco, chuchota ma mère, essayant de faire en sorte que je n'entende pas.