❇️ Vrai Visage ❇️

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Pendant leur conversation j'étais allé me changé et vu qu'il n'était plus là j'ai compris que je n'étais pas viré alors j'ai pris mes affaires et je suis partis je suis sortis par la porte de service et je l'ai vu bon je l'ai pas vu mais j'ai reconnu sa voix il était dans le noir et ses garde du corps attrapais un homme qui était mal en point il avait mis des gant et quand il lui avait parlé en espagnol je crois j'avais eu la chaire de poule tellement il avait l'air dangereux

- Escúchame, pequeño hijo de puta, si no me devuelves todo mi dinero, te mataré a ti y a todos los miembros de tu familia.(Écoute moi bien petit fils de pute si tu ne me rend pas mon argent dans toutes sa totalité je te tuerais toi et tout les membres de ta famille)

Je parle couramment espagnol, anglais, et un peu le russe ( oui les avantages d'avoir été riches un jour) alors je comprennais très bien ce qu'il venait de lui dire et si ce n'était pas aussi violent que ça j'aurais trouvé sa voix sexy. Je me reprennais et me cachait pour écouter la suite

L'homme lui disait qu'il n'avait pas tout cet argent et qu'il ne pouvait pas le trouver mais qu'il travaillerait pour lui et plein d'autres choses. Son rire sadique s'élèva dans la nuit noir je pouvais bien le voir depuis où j'étais et son regard était plus sombre que jamais j'avais trembler en voyant l'expression  qu'il avait sur le visage mais surtout la façon dont il avait l'air plus froid qu'un iceberg

- Siempre te dije que no me dobló, quería jugar ahora, vas a morir, me molesto por tu esposa y tu hija, van a morir por ti.    
(Je te l'ai toujours dit moi on ne me double pas tu a voulu jouer maintenant tu vas mourir j'ai juste de la peine pour ton épouse et ta fille elles vont mourir à cause de toi)

- Non... Non...non s'il vous plaît je travaillerai pour vous je vais faire tout ce que vous voul..

Il avait sorti une arme qui avait un silencieux et lui avait tiré une balle dans la tête. Je n'avais pas pu retenir un cri d'effroi de sortir de ma bouche et il s' était retourné dans ma direction. Je tremblait comme une feuille alors qu'il avait dit à ses hommes d'emmener le cadavre de ce type en retirant ses gants  puis il s'était dirigé vers l'endroit où je me cachait

Prise de peur j'ai voulu m'enfuir mais il m'avait tiré par les cheveux je lui avait mis un coups de coude dans les côtes mais il ne me lâchait pas quand il c'était rendu compte que c'était moi il avait emprisonné mes bras et  m'avait soulèver comme un sac à patate et il m'avais emmener à l'intérieur de l'hôtel

Je criait en hurlant qu'il était un assassin mais personne ne m'écoutais il riait de la situation après qu'il est dit assez fort

- C'est une petite dispute de couple il ne faut pas faire attention, elle veut me punir de l'avoir fait attendre

Les gens riaient en me voyant me débattre alors qu'il avançait nonchalamment dans l'hôtel, arrivée dans l'ascenseur il me déposa et me plaqua sauvagement contre le mur son regard était redevenu aussi dur que tout à l'heure je me tus instantanément

Il fit un sourire satisfait puis quand l'ascenseur s'arrêta il me poussa vers ce qui semblait être un appartement. Dans un hôtel ? Je ne dis rien pour autant la décoration était admirable il avait du goût je devais le reconnaître. Il alla se sévir un verre et je voulais profiter pour fuir mais il avait dit

- Cariño si tu t'enfouie maintenant ou après sa ne changera rien je vais toujours te retrouver

Je n'osais même plus penser à fuir car je savais qu'il avait raison mais je pouvais bien le tuer avant qu'il ne le fasse je regardais autour de moi et je remerciais déjà le ciel car il y'avait une petite statut juste à côté de moi je la pris et l'attrapais fermement pour allé le frappé mais je sursautais en sentant ses bras m'entourer

Il ricana doucement dans mon oreille puis il posa un bisou dans mon cou me provoquant une vague de frisons que je voulais à tout prix ignorer. Il m'avait arracher la statuette des mains et était allé la posé ou je l'avais trouvé, puis il m'avais dis doucement

- Je ne compte pas te faire de mal alors ne m'en fais pas et cette statuette m'a coûter une petite fortune alors je ne voudrais pas qu'elle soit abîmé

- Vous n'êtes qu'un malade je savais que vous n'étiez pas juste le riche milliardaire honnête que vous pretendiez être. Sinon je ne vous aurais jamais vu dans ce bar

- Je ne frequente pas ce genre de bar d'habitude mais ce soir là j'étais de mauvaise humeur et je passais dans le coin c'est tout mais je ne regrette pas d'y être entré

Son regard se posa sur moi et je compris ce qu'il voulait dire je me retournais et lui dis clairement

- Je ne veux pas savoir ce que vous ne regrettez pas ou je ne sais quoi d'autre je vais m'en allé et vous n' allez pas me suivre et si je vous revois je vous dénonce à la police

- faite donc j'ai envie de voir qui vous croira, qui pourra croire que moi un homme d'affaire aussi important et riche je serais un assassin

J'avale difficilement ma salive il venait de se lever et si il y'avais quelques heures je n'avais pas peur de lui sa avait radicalement changé, il faisait deux bonnes têtes de plus que moi en plus il était musclé j'aurais pu me defendre contre lui mais il m'aurait maîtriser assez vite. Alors je ne dis rien et ne fit rien

- Cariño je n'ai pas arrêté de penser à toi depuis ce jour je sais que je dois te faire peur maintenant mais je veux juste que tu sois près de moi et savoir que tu es a moi

- Je ne suis pas une chose que vous pouvez obtenir si vous en avez envie.

- Je n'ai pas dis sa Cariño

- Je ne suis pas votre chéri arrêté de m'appeler comme sa et j'ai bien compris comment vous avez ordonné à vos hommes d'aller tué la femme de cet homme et leur fille vous êtes cruel

Un sourire sadique apparu sur ses lèvres puis il me tira par les cheveux ce n'était pas aussi violent que tout à l'heure c'était juste pour me dominé. Je ne m'y habiturais jamais à sa façon de me regarder ou de me fixer il captura mes lèvres et m'embrassa avec passion je manquais de m'écrouler il entoura ses bras musclés autour de ma taille puis il me porta je ne pouvais pas me défaire de cette emprise qu'il avait sur moi

J'avais peur de lui mais pourtant je me laissais aller en l'embrassant avec autant de fougue que lui. Oui c'était confirmé j'étais folle....

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NéfasteOù les histoires vivent. Découvrez maintenant