Chapitre 7: la question du mariage

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Au levée du matin, j'étais assise au milieu du lit, toute seule; ou du moins; je ne distinguais rien, dans l'éblouissement que mes yeux m'envoyaient. J'avais une mauvaise mine et j'avais mal au crane, je me suis levé pour aller prendre un verre  mais j'avais pas la force pour me lever et je me suis encore endormie. Et la j'ai vu Juan assis  sur le canapé et il m'observait . Jamais il n'avais vu la splendeur de ma peau brune, la séduction de ma taille, ni cette finesse des doigts que la lumière traversait. 

-Bonjour Juan. bien dormi?

-Bonjour mon ange. j'ai bien dormi et toi?

- J'ai un mal de crane 

-Ah tu as trop bu hier

-Oh non j'ai mal

-Je vais chercher des calmants

-OK je t'attends

  Je me suis levée pour ouvrir les fenêtres, car la lumière naturelle était magnifique.

-Je suis là, tiens

-Merci, je vais prendre mon bain

-Moi aussi. On se voit après 

-OK

    J'ai pris une bonne douche chaude et j'étais déjà un peu soulager grâce au calmants que j'ai pris. et je suis descendu. Juan m'attendait:

-Tu es splendide

-Merci toi aussi

-Bon on y vas

-On vas ou?

-Faire un pic-nique au parc  

-OK 

  Le soleil était accueillant, avec un air doux du parc nous redonnait couleur au visage. Au loin, de vastes terrains de jeu s'étendaient paisiblement sous li ciel d'azur éclatant. Les rayons de soleil couchant n'en finissait pas d'éclairer la terre, devant cette glorieuse fête nature, j'étais perdu dans mes pensées

- Everly tu m'écoute

-Oui oui, tu dis quoi?

-Que fais tu pour oublier tes problèmes?

-Le seul moyen pour moi c'est la pâtisserie. Et toi?

- C'est de cuisiner. Sa te plait ce rencard?

-Oui oui

-Il se fait tard je crois qu'on doit y aller

-OK

    Un mois s'était écoulé depuis ma rencontre avec Juan .On se voyaient souvent. Juan me fit visiter toute la ville, m'amena dans des endroits guais. Grâce a lui, je goûtais tous les plats du pays dans les grands restaurants. Et les petits surtout sa cuisine.

Un soir, alors qu'ils vadrouillaient en célibataires avec ses amis , un de ses amis lui demanda:

-Alors? quand est ce que vous vous mariez?Dit t'il a Juan. A ta place, il y a longtemps que j'aurais demandé sa main. Cette charmante personne risque de t'échapper si tu continues a la faire attendre.

-Nous ne nous connaissons que depuis un mois: Répondit il. D'ailleurs il me semble t'avoir entendu dire que les mariages ne se précipitaient pas, que la préparation en était longue qu'une grossesse.

-C'est vrai, mais songe-y quand même des maintenant. La femme amoureuse est comme un lionne en cage a qui on apporte un gros morceau de viande saignant en le laissant de l'autre coté du grille, hors de sa portée. Elle se débat pour l'avoir, rugit, s'affole et finit par tourner le dos et l'ignorer royalement.

        Juan sourit de cette comparaison et répondit:

-Pour quelqu'un qui n'attache pas une grande importance aux femmes, on peut dire que tu les étudie pas trop mal. Ta description minutieuse de la femme est celle d'un connaisseur. J'avoue que je n'aurais pas trouver mieux.

   L'autre se défendit énergiquement:

- Le sexe féminin est tellement transparent que, quand il s'agit des problèmes de cœur, une simple observation détaillé suffit.

-Si Everly était la, elle t'aurai traité de phallocrate dit un autre.

-Je m'abstiendrais de faire de tels commentaires devant elle. Mais il tout de même  curieux que toutes elles femmes qui se prétendent "modernes" se sentent attaqués des qu'on essaie de les définir.

-Mets-toi a leur place elles ont étés longtemps défavorisés, dévalorisés,  déconsidérés a cause des lois établies par les hommes. Maintenant, qu'elles ont de la valeur et de l'utilité dans la société ils est normales qu'elles soient rancoeurniérent envers nous.

-On voit bien que tu es amoureux. Mon ami l'amour  est l'espace et le temps du cœur rendus sensibles au cœur.

-Merci de vos conseils mes amis je dois rentrer.  

-OK au revoir ami, réfléchir-y bien: dit ils. prends bien soin d'elle.

-OK merci de vos conseils.

   Depuis que son ami lui avait parlé du mariage,Juan commençait a réfléchir sérieusement a la question. Jusqu'à présent, il était surtout préoccupé par la stabilité de sa vie. Non pas qu'il négligeait sa vie sentimentale. On se voyait de plus en plus ...........

un cœur à prendreOù les histoires vivent. Découvrez maintenant