Can we really hide the truth ? - Teen Wolf

Chapitre 58 : Une gare ?

Stiles : Ils sont partout...

Lydia : Qu'est-ce que tu fais ?? Il faut qu'on s'en aille !!

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Stiles : C'est trop tard, il y a plus le temps. Lydia, ils vont m'effacer, d'accord ?? Comme Charlie et toi, tu vas m'oublier.

Lydia : Non, jamais !! Non... Jamais je t'oublierais.

Stiles : Lydia, tu vas m'oublier. Il faut que t'essaie de trouver un moyens de te souvenir de moi. D'accord ? Souviens-toi que t'es la première fille avec qui j'ai danser, souviens-toi que je craquer pour toi en première année, en deuxième année et en troisième année. Souviens-toi que tu mas sauvé la vie.

Lydia : Tu m'as sauvé la vie aussi.

Stiles : Et n'oublie pas... N'oublie pas que je t'aime. 

Le lendemain, Lydia retournait au lycée et a l'entrée elle commença a détaillais ce qu'elle voyais, comme si quelque choses n'allait pas.

Malia : Ca va pas ?

Lydia : J'ai la sensation qu'il fallait que je fasse quelque choses.

Scott : Et c'est quoi ?

Lydia : Je m'en souviens pas...

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Une gare. Voilà ou ils étaient. Dans une gare qui avait l'air abandonné et qui pourtant étais remplie de visage au regard vide. Deux de cette trentaine de visage était n'étais pas inconnu, enfin pas pour tous le monde.

Charlie étais là depuis au moins une vingtaine d'heure, même si elle avais perdue la notion du temps. Elle retourner au guichet toutes les 5 minute alors qu'elle savaient que ça ne servais à rien.

Alors qu'elle tentais de trouver une solution sur un des bancs a côté de tous ses adultes qui disaient attendre leurs train, une annonce au mégaphone annonça l'arrivé d'un train. Mais c'était la première choses que Charlie avais remarqué. Il n'y avais pas de rail.

Tous le monde se précipité vers l'entrée des trains, mais se sont des cavaliers fantômes qui chevauché leurs montures vers le hall de la gare en lâchant les victimes de leurs chasse. Puis Charlie remarqua quelque choses, elle avait cru apercevoir quelqu'un qu'elle connaissais...

Elle en était sur, c'était lui... Alors qu'un des cavaliers lui foncer droit dessus, elle se précipita vers lui et l'attrapa avant collision.

Charlie : Stiles !!!

Stiles : Charlie !!!

Les deux amis se prirent dans les bras content de ne plus être totalement seul. Puis ils s'installèrent sur un banc comprendre ce qui étais en train de leurs arriver.

Charlie : Je me suis fait tirer dessus par l'un d'eux en essayant de protéger Alex.

Stiles : Les gens commençait déjà à t'oublier... Ce qui nous arrive, c'est a cause de la chasse sauvage. C'est un genre de période ou des cavaliers fantômes descendent du ciel pour amener les âmes en peine !!

Charlie : Waouh...

Stiles : Ca fait combien de temps que t'es seul et si tu me dit que t'attend ton train je te tue !!

Charlie : Je sais pas, un jour et quelque. Et je te rassure, je ne suis pas comme la plupart ici qui sont persuadé qu'il y a un train qui va arriver.

Stiles : C'était pas dur, seule ??

Charlie : J'étais pas seule.

Charlie se décala et Stiles écarquilla les yeux en apercevant Peter Hale, en chair et en os, celui qui devait être enfermer à Eichen House. Charlie expliquait à Stiles qu'il c'était enfuis lors que la troupe étaient partit délivré Lydia.

Stiles : Et...

Charlie : Oui, comme tous les autres, il attend son train.

Stiles : Pourquoi on est pas comme eux ??

Charlie se mit a fouiller dans les poches de Stiles et trouva son trousseau de clé, puis elle sortit un crayon de papier de la sienne

Charlie : Parce que tu as gardé ça.

Stiles : Et toi un crayons ??

Charlie : Longue histoire.

Peter : Je me suis échapper d'une prison, pour aller dans une autre. On dirait un repère souterrain, d'un démocrate dépressif.

Stiles : Il y a forcément un moyens de sortir d'ici, non ??

Peter : Si on est prisonnier de la tempête ?

Charlie : On pourras pas s'échapper.

Peter : On est condamné a errer la dedans, pour l'éternité.

Stiles : Mais on est pas dans un tempête, on est dans une gare !! Et on peut sortir d'une gare !!

Charlie : Stiles, on a déjà tout essayé !!

Peter : On ne peut pas sortir d'une gare qui n'est pas réelle.

Stiles : Qu'est-ce qu'il raconte ??

Charlie : Stiles. Y a pas de gare à Beacon Hills.

Stiles prit la main de Charlie et courut vers une des portes suivi de Peter, puis il trouva celle-ci fermer par un chaîne et un cadenas, Charlie s'avança et brisa les chaînes, mais cette porte n'étais pas une vraie porte, puisqu'elle menait a une autre porte du hall.

Peter : Vous deux. Derrière mon épaule gauche contre le pillier, regardez pas.

Charlie : Qu'est-ce qu'il y a ?

Peter : Ce type nous fixe.

Stiles : Ouais et alors ??

Charlie : Tous le monde dans la gare est sois comateux, sois catatonique !!

Peter : Alors que lui ne nous quitte pas des yeux depuis 5 minute !!

Charlie et Stiles se dirigèrent vers ce fameux gars qui tentait de les fuir, mais Peter lui barra la route.

Stiles : Pourquoi tu nous fixe ??

??? : Vous avez essayé les portes ? Personne n'essaie jamais les portes.

Stiles : Toi ta essayé, non ?

??? : Si et j'ai essayé tous le reste.

Peter : Non pas tous. Puisque t'es encore là.

Stiles : Apparemment ta un genre de plan, tu pourrais nous en parler ??

??? : Oui, je peux. Mais ça veut pas dire que vous y arriverez.

Charlie : T'es loin de te douter de tous ce qu'on peut arriver a faire.

??? : Bah c'est juste sous votre nez.

Puis le groupe dirigèrent leurs regard vers l'entrée des trains, celle qu'avaient utilisé les cavaliers fantômes pour faire leurs entrées fracassante.

PDV de Charlie :

??? : Vous l'aviez pas vu hein ??

Charlie : Si... Je m'en souviens.

??? : Alors pourquoi ta perdu ton temps a essayé toutes les portes ? Je vais te dire pourquoi. Parce que ça fait partie de l'illusion !! Il veulent que vous ayez peur !

Peter : Moi j'ai pas peur.

Peter partit en premier vers l'entrée et nous le suivîmes, mais une fois devant, impossible de faire un pas de plus. Comme si on savaient qu'on ne devais pas passer.

??? : Je vous l'avais dit.

Peter : Qu'est-ce qu'on attend pour le tué ??

Charlie : Si tu avançais, nous on pourrait te suivre !!

Peter : Pousse moi.

Charlie : Quoi ??

Peter : Pousse moi !!!