"Majesté ! le bal va bientôt commencer"
"merci de nous avoir prévenue , pouvez vous s'il vous plais appeler mon carrosse"
"de suite votre majesté"
rouge et blaze avait l'air surexciter , elle ne pouvais plus tenir en place , le carrosse arriva rapidement , blaze , rouge et moi montions dedans et nous avion pris place , une fois le trajet finit , nous sortîmes du carrosse et des servante nous accueilli.
rouge et blaze suivit les servante pendant que je partit discrètement , je repartit au champ d'écho et trempa mes pieds dans le lac , quand soudain j'entendis un bruit , sa venait de la cascade
"il y a quelqu'un ?"
aucune réponse ...
je me dirigea vers la cascade avec ma robe blanche et passa en dessous de la cascade et ses la que je le vit , je crois qu'on l'appelle si Lancelot , mais il était blésé
je couru vers lui et le fit s'asseoir , je me leva et prit une trousse de soin et j'essayai de le soigner comme je peut
"sa devrait aller mieux "
il me regarda et je vit ses joue se pourpré un peut , puis le regard vide il me répondit
"merci..."
je lui fit mon plus beaux sourire , puis il se leva et s'agenouilla devant moi
"merci votre majesté"
je fut surprise puis je me baisa et lui tira je bras comme pour le faire se lever
"appelle moi Aurore"
il sembla assez hésitant mais il accepta , le bal commence dans une heure , je regarda les dernière blessure de sir Lancelot
"dite moi Lancelot"
il se retourna et rougit un peut comme si il aller me dire qu'elle que chose
"appeler moi Shadow votre majesté "
je rigola et lui fit un sourire amical
"avec plaisir mais Shadow je t'es demander de m'appeler Aurore non ?"
il fut surprit
"Oui désolé votre majes....Aurore."
je le prit par la main et on sortit de la cascade , direction le châteaux pour le bal
"avez vous entendue parler du bal qui aura lieu dans quelque minute ?"
"oui , ses pour sa que j'était venue , mais je me fit attaquer"
il tourna la tête et lâcha ma main comme si il avait honte ...
"je peut vous confier quelque chose.."
VOUS LISEZ
L'héritière et les chevalier
Romance« Le vice, le bonheur, l'infortune, tiennent à un souffle. Vous mourez, deux heures après on ne pense plus à vous ! Vous vivez, on n'y pense pas davantage ! Qu'importent vos joies, vos peines, votre existence, non seulement à votre voisin qui ne vo...