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Deux semaines étaient passées depuis l'incident. Depuis, Hara et moi étions devenu amies quant à Jimin, il faisait tout pour m'énerver et juste après me menaçait de me toucher.
Ne pensez pas à ce genre de chose voyons !
Je disais je suis actuellement en cours et l'envie de dormir ne m'a pas effleurée l'esprit une seule fois. Il faut dire que j'ai fais tellement de malaises que dormir n'est plus ma priorité. A n'importe quel moment l'un des sbires du blondinet peut m'évanouir.
À la sonnerie, je me retrouve dans la cours, sur un arbre. On sait jamais si quelqu'un me touche ou me bouscule...
- Soobi !
Je regarde au pied de l'arbre et y vois la petite tête d'Hara.
- Descend de ton perchoir, Jimin veux te voir.
- Sûrement pas ! Il va encore me toucher.
- Mais non aller !
Malgré tout je descends et suis Hara. Jimin et sa bande étaient adossés à un mur au font de la cours.
- Salut poupée.
- Je t'ai dis de ne pas m'appeler comme ça.
- Mais ton prénom est trop moche pour que je le dise.
- Hm.. disait Jimin. Bref que veux tu ?
- Viens faire un câlin à papa.
Et comme depuis deux semaines déjà on se retrouve à courir dans les couloirs du lycée par ce qu'il veut m'éteindre.
- Jimin arrête ! Tu sais bien que je peux pas !
- Mais c'est ça qui est drôle justement.
- Me porter jusqu'à chez moi sur ton dos ? T'es bizarre.
Je continue à courir lui à mes trousses.
- Et puis comment t'as eu mon adresse ?
- Bah je l'ai demandé à madame Kim.
Je savais que cette femme c'était un diable ! Et à quel moment tu donne l'adresse d'un élève à un autre ?
- Stoppp.
Comme une idiote je me retrouve prise au piège. Me tourne vers Jimin et lui sourit.
- Tu m'as tellement toucher ses derniers jours que si sa ce trouve je ne réagis plus à ton toucher.
- NON !
- De quoi non ?
- C'est pas juste c'est mon arme mes mains.
Je ris.
- Tes petites mains toutes potelées.
Il regarda ses mains et son visage rougit de colère. Oups.
- Pour une fois ferme les yeux.
- Non pourquoi je ferais ça ?
- Fais le c'est tout.
Je ferme les yeux doucement. J'entends ses pas se rapprocher de moi.
- A trois tu expire grandement.
Pourquoi ?!
- Un..
- Deux...
- Ferme-la ! Deux...
Je prends une grande inspiration.
- Trois.
J'expire et je sens des mains sur mes bras. J'hésite à ouvrir les yeux.
- N'ouvre pas les yeux. Tu te rends compte que mes mains potelées son posées sur toi ?
J'ouvre les yeux et les écarquilles. Il me touche et je ne me suis pas évanoui ! Je commence à sourire quand...
