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l'été mange mon corps allongé contre le tien, les rayons du soleil brûle nos peaux ternes. nos langues dansent un slow maladroit, une danse mortelle aux saveurs d'innocence.

ta sève coule le long de mes lèvres, elle inonde tout mes membres de ses saveurs ensoleillés. les vitraux déteignent sur nos peaux, brûler nos os calcinés dans nos cendres encore brûlantes. je veux partir en fumée au milieu des dieux torturés.

en goûtant le péché une cinquième fois il a commencé à me dévorer le cœur

péchésOù les histoires vivent. Découvrez maintenant