jour 2

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mon amour, comme je t'appelais si souvent,
sans la moindre idée d'un quelconque engagement.
mon amour, c'est de la passion
qui nous consume dans le feu de l'action.

mon amour, ça me détruit.
mon amour, je te fuis.
mais tout me ramène à toi.

je vis libre puis une particule de pensée divague,
et c'est le drame.

bien sûr dans mon esprit ne ressortent que les moments forts, les notifications tard le soir, ou mieux, tôt le matin
tes surnoms, tes mots, ton langage.

et je souffre.
parce que tu me manques.
parce que je suis en manque de toi.
mais je lutte.

o, j'aimerais m'amuser sans prendre quoi que ce soit au sérieux, rire jusqu'au bout de la nuit en bravant le couvre-feu..

mais mon coeur ne dévale pas cette pente.
pour l'instant,
car, je suis trop faible,
trop faible face à toi.

je m'en veux d'écrire tout ça, mais je n mentirais pas.

je mens déjà trop.

alors j'écris, pour moi-même, pour le monde, pour toi..

c'est fini, je nous protège

Last TrainOù les histoires vivent. Découvrez maintenant