Je suis revenue avec maman pour la première fois depuis 2 mois ,je n'avais jamais vue maman si anéantie j'avais eu même l'impression d'entendre son coeur se briser a force de pleurer ,voilà les ravages que ta mort a causer petite soeur .
Au fond ,je crois quel ne t'en voudra pas ,tu était la fille préférer de maman avec des long cheveux bruns et tes iris d'un vert intense ,le portrait cracher de notre génitrice alors que moi mes cheveux bruns et mes iris marron était tellement banale par rapport a ta beauté qui ne passer pas inaperçu au yeux de tous a cette penser un mince sourire se mis sur mes lèvres un sourire que seul toi pouvait causer ,alors que je regardais ton précieux sourire ,un détail attira mon attention une phrase écrite en italique écrit en minuscule .

Si je suis morte avec le sourire ,vous n'aurez pas le droit de pleurer .

Alors que notre mère partait me laissant seul ,je m'approcher et du bout des doigts je toucher cette petit phrase et dit :

- Toi seule pouvait écrire sa

A cette penser mes larmes s'arrêtèrent et un autre sourire vint sur mon visage ,un rire silencieux m'échappa .
Et alors que j'allai partir un autre détail attira mon attention un bouquet était poser sur le bas côter avec un papier .

Mes sincères condoléances

                                             Méli

C'est alors que je lâcha le papier , comment est ce possible ...
La seul qui m'appeler comme sa était ma soeur ,est ce que je suis devenue folle ,pour confirmer mes soupçons je ramasser le papier et partie .

Regardant toujours le bout de papier allonger sur mon lit je le détallai ,cette écriture n'était pas la sienne ,mais alors qui . Qui aurait pu connaître se surnom que seul elle me donnait ,se surnom qui m'insupportait se vague souvenir de ma soeur et moi regardant la télé ,elle qui chercher a me donner un surnom ,et moi la regardant amuser et cette idée de lui dire

- pourquoi pas Méli ,dis je sur le ton de la plaisanterie

Alors que ma soeur elle ne l'avais pas pris comme sa et depuis se jour elle m'appela comme sa , a se souvenir une larme m'échappa ,c'est alors que j'entendis des cris et des fracas , mes parents , depuis sa mort mes parents se disputait ,il mettait la faute sur l'autre ,elle n'aurai pas aimer voir sa ,mais je ne pouvais pas agir, j'étais moi ,la personne qui était capable de les calmer n'était plus de se monde ,alors c'est encore une nuit de plus que je m'endormis avec ces fracas .

Le poid de mes regretsOù les histoires vivent. Découvrez maintenant