Dès son ascension, Joachim se fit comprendre : il est le roi, nous sommes ses sujets.
Il commença alors par réformer l'administration en abolissant notamment la "loi de Neumark", ancienne loi qui prit forme en 1388. Cette loi accordait une plus grande autonomie à la noblesse brandebourgeoise et leur permettait de détenir plusieurs titres en même temps. Une vague de révolte se créa évidemment de suite car les nobles n'étaient pas prêts à se détacher de leur vieilles traditions, mais le Joachim n'était pas juste un gouverneur hors pair, il était surtout connu pour être un génie militaire qui savait comment mener ses hommes. Ainsi, la rébellion se fit écraser avec aucune difficulté et renforça de même sa légitimé au trône. Après 5ans de réformes intestines et de problèmes liés à la diplomatie, car en effet notre bon roi ne savait pas comment se comporter avec les autres royaumes et était un diplomate exécrable (ceci est une version des mémoires que je compte laisser chez moi car je tiens encore à ma vie). Il rencontra pendant cette période une personne qui aller avoir un rôle MAJEUR dans l'Histoire en général et qui était, par là même occasion, son meilleur ami : Johann Cicéro. Cette homme est un théologien qui se fit connaitre quelques années plus tard. Joachim et lui aimer débattre de religion, il accompagné toujours le roi quand celui ci visitait les monastères (une habitude qu'il avait pris pendant les années de régence). Donc je disais, après 5 années de troubles intérieurs, le roi était fin prêt à prouver son courage et son génie. Comme une sorte de tradition, mais surtout pour récupérer la province prussienne de Plock qui demandait son aide, le roi se mit en tête de faire la guerre à la Pologne. Le 5 Avril 1539, le Brandebourg et ses vassaux (le Mecklembourg, la Poméranie et la Saxe) entrèrent en guerre contre la Pologne et ses alliés (la Lithuanie et la Moldavie), on nomma cette guerre "La guerre secoure". Pour cette guerre, le roi décida de ne pas mener les hommes lui même, comme le voulait la tradition, mais de plutôt laisser une chance à Wilhelm Vector, jeune général qui avait démontré ses talents à la célèbre école militaire de Königsberg, faire ses preuves et commander les troupes. Le 20 avril, les troupes de Wilhelm entrèrent à Bydgozsz, en Notec, et prirent la ville. Une première victoire éclatante sans un effort des soldats car le seigneur de la ville se rendit après 5 jours (selon certains historiens, Wilhelm l'aurait grassement payé...). La Pologne et la Lithuanie répliquèrent 2 mois plus tard, quand la cavalerie Lithuanie (les célèbres ruthénniens) engagea, par surprise, le combat contre la garnison de notre armée. Il est dit que, Wilhelm ne paniqua pas et se montra même très surprenant en manœuvrant habilement l'aile droite pour éviter la désorganisation, la cavalerie fut exterminé, pris au piège par une colline situé derrière eux, en effet, Wilhelm se doutait bien que la Lithuanie utiliserait sa cavalerie (après tout il est ruthénnien lui même) et plaça des archers sur la colline. Devant un tél massacre, les 12 000 hommes polonais préférèrent rester stationner dans le vilalge de Glorz, derrière la rivièr, et fortifièrent leur position. Wilhelm décida de laisser environ 5 000 hommes surveiller l'endroit et partit avec le reste des troupes, environ 7 000 hommes et 3 000 cavaliers, assiéger la ville de Plock. Le 9 juillet, la ville de Plock se rendit, après 3 mois de siège, et la victoire souriait à Wilhelm mais c'était sans compter qu'il fit une grossière erreur : laissait ses troupes piller la ville. En effet cette guerre était avant tout une guerre de libération, la population prussienne de la région voulait intégrer le Brandebourg, mais au cours du pillage, même les prussiens se firent massacrés. Un traité de paix entre la Pologne et Brandebourg fut émis le 24 août, après la défaite des moldaves contre les troupes alliés saxonnes. Joachim II et Stefan I Jagiellon se mirent d'accord : La pologne libère Plock sous le nom d'un nouvel État : la Mazovie, mais celui ci n'avait le droit d'intégrer pendant 50 ans ni la Pologne et ses alliés, ni le Brandebourg et ses vassaux. Ainsi s'acheva cette guerre courte. Wilhelm quant à lui se fit couper la tête pour trahison et crimes de guerre contre le peuple allemand, le roi serait désormais le seul apte à diriger l'armée.
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Joachim II et le Brandebourg
General FictionUne semi-fiction avec pour base l'Histoire (avec un grand H s'il vous plait), imaginez vous un monde parallèle au notre. L'histoire du roi le plus important d'un des royaumes du Saint Empire, le Brandebourg : Joachim Hector II von Hohenzollern (de l...