À jamais avec toi.

Chapitre 9: NEWT.

Quand je me réveille Thomas était juste à côté de moi. Il est si beau. Je m'approche de lui pour l'embrasser. Mais je l'ai réveiller. Il ouvre les yeux petit à petit, puis ses yeux se posent sur mon visage. Il reste comme ça un petit bout de temps.
- Salut. Lui lançais-je.
- Salut. Me répondit-il avec un grand sourire.
Je lui sourie en retour.
- Tu va mieux?
- J'ai encore mal mais à part ça oui...
Il baissât la tête un moment puis la relevât. Il me regardât et m'embrassa.
Je mis ma main sur sa nuque pour le retenir. Je sens son souffle, son cœur battre; c'est le calme absolu à part ça. À ce moment là je me sens bien. Je ne pense plus au labyrinthe ni au griffeurs ou quoi que ce soit.
Pendant que je l'embrasse je me dis que je n'ai plus rien. Ce labyrinthe m'as enlever toute mon ancienne vie. Plus d'amis, plus de famille; bref plus rien. Mais maintenant que je suis dans le labyrinthe j'ai Thomas. C'est ma vie maintenant, et il faut que je m'y fasse. Il faut que je fasse tout en ma possession pour pas le perdre. Lui et mes amis.
Quelques minutes après il se retire sa bouche de la mienne. On se regardent fixement dans les yeux.
- Je t'aime tu sais... Lui dis-je avec les larmes aux yeux.
- Newt? Qu'est-ce qu'il y a?
Il a dût remarquer mes larmes.
- C'est juste que maintenant je me rend compte à quelle point je tiens à toi. Si je te perdrais...
Il me coupât la parole.
- Oh Newt, continu pas s'il-te-plaît...
- Non mais je veut juste te dire que t'es presque tout ce qu'il me reste. Ce putain de labyrinthe m'a pris ma vie. Maintenant il y a toi, et si un jour tu devrais partir pour une raison ou une autre je n'aurais plus rien. Absolument plus rien.
À ces mots des larmes coulent sur mes joues et Newt as les larmes aux yeux.
Il s'approche de moi, met une main sur mon épaule droite.
- Thomas, je te promet que rien ne m'arrivera. Je serais là. Je serais là pour toi. Et rien ni personne pourras nous séparer. Ok?
Je le regarde, je regarde ses yeux. Ils sont magnifiques, ils sont d'un marron foncé. Je me perd dans ses yeux; donc je l'embrasse. Entre deux baiser je lui glisse un:
- Ok.
Je regarde le sol quand Thomas brise le silence.
- Je t'aime tant tu sais.
Je lève la tête pour le regarder. Il a encore les larmes aux yeux.
- Moi aussi Thomas, je t'aime.
Il me posa un baisser sur la bouche juste après.
C'est le silence.
- Bon, on devrais y aller peut-être non? Me demande-t-il en brisant le silence.
- Pour quoi faire? Restons ici.
- Tu es fou ! Et si Alby vient nous chercher...
Je me jette sur lui et l'embrasse pour qu'il se taise.
Il est surprit mais il se laisse faire aussitôt.
- Oui, restons ici. Toute la journée. Toute la nuit si il le faut ! Mais j'ai envi de rester avec toi.
À ses mots mon cœur s'emballe.
Je saute sur lui, je l'embrasse. Il s'allonge sur le lit pendant qu'il déboutonne ma chemise. J'ai tout de suite compris ce qu'il veut faire. Je me laisse faire, j'en ai envi.
Pendant qu'il enlève ma chemise je m'allonge auprès de lui. On s'embrasse encore. Je lui enlève le tee-shirt.
Mais la porte s'ouvra et Chuck apparus. À notre vu il tourne vite la tête pour ne pas nous regarder.
Je remet vite ma chemise et Thomas son tee-shirt.
- Oh désoler ! Je ne savais que vous fessiez... Fin vous savez quoi...
- Non ne t'inquiète pas, ce n'est rien. Lui dis Thomas en me regardant avec en rigolant.
- Si tu le dis... Bref j'était venus pour vous dire que Alby veut vous voir.
On se regarde Thomas et moi. Puis je répond à Chuck.
- Écoute Chuck; Thomas et moi voulions rester ensemble toute le journée, sans être déranger. Donc est-ce que tu peux nous rendre un service et dire à Alby qu'on dors toujours? Ce serais sympas petit bonhomme.
- Je comprend. Je vais lui dire ça tout de suite.
- Merci Chuck. Lui dis Thomas.
Puis Chuck partit. Quand je me retourne vers Thomas il me saute dessus et m'embrasse. Je met ma main sur sa nuque et m'allonge doucement sur le lit. J'ai les joues en feux, une sensation de chaleur me parcoure tout le corps; et j'aime ça.
Il déboutonne ma chemise bouton par bouton; encore une fois. En même temps je passe mes mains dans ses cheveux pendant qu'on s'embrassent.
Je l'aime tellement, à un point inimaginable. J'ai besoin de lui. Mais pour le moment, j'ai envi de lui.
Donc je le plaque contre moi et nous passons une longue matinée.