Tes mots formidables sortaient par vagues fortes et puissantes. Ils me heurtaient, me frappaient par leur vitalité fulgurante. Lorsqu'une conversation animée s'engageait, les mots devenaient plus intenses encore, imprégniants mon esprit comme une tâche de sang un mouchoir. Tes mots étaient vivants, animés pas une passion violente et ardente. Les phrases devenaient couleurs, lieux, étangs, ou même insectes, presques palpables. Lorsque tu parlais, tout prenait sens , tout semblait évident. Tout comme ton regard, tes mots pouvaient devenir aussi acérés que des lames, si tranchants qu'ils auraient pu tuer.